Je n'ai pas de téléphone portable ni de compte facebook. (EDIT : pour des raisons pragmatique, j'ai dû me créer à mon coeur défendant un compte fessebouc, mais je résiste toujours au portable) Troglodyte dans une caverne de papiers jaunis par le temps, noircis par l'écriture et les dessins, tachés par des fluides d'origines variées et plus ou moins avouables, sociopathe philanthrope, droitier contrarié, amoureux solitaire, entre autres. Quand quelqu'un me parle de son film préféré, je vais en cachette le regarder parce que je suis certain qu'un film qui ébranle quelqu'un a forcément quelque... Voir plus
Ca rappellerait presque, niveau sauvagerie, certain finals de John Woo de la belle époque. Si Woo est un transcendant de la Shaw, Ewan a une rage du rythme qui ne failli pas.
Vu au ciné et plutôt une mégaclaque, malgré des critiques qui laissent en suspens le fait que c'est totalement un Cronenberg (une suite officieuse à Videodrome), en plein dans la "polémique JV=Art.
Suite "officieuse" de Videodrome (le thème de la "New Flesh" étant déjà là dans Shivers), le film s'est fait conchié... parce qu'il abordait l'organique sous l'angle du JV ? Tristesse...
Villeneuve réussit en toute simplicité à faire ressentir le gigantisme mieux que bon nombre des artistes et artisans du 7ème art, en alternant des plans brumeux d'une beauté sans faille, et basculant...
Les moins jeunes se souviennent peut-être de la sensation vertigineuse des premières aventures de Link dans le Zelda originel, auquel fait écho de façon magistrale avec des moyens contemporains le...
David Lynch est mort. C'est une occasion comme une autre de pleurer un artiste aux nombreuses casquettes (métaphoriquement comme littéralement), et de parler de son film le plus "Lynchien", à un...