Ce qu'est bien avec Nothomb, c'est quand ses histoires à problèmes de bourges qui s'occupent de bourges et qui se gargarisent de références littéraires de bourges, ça dure pas trois plombes.
On attend un recueil de haikus avec des prénoms à la con pour la prochaine rentrée. À 18 euros les 150 pages qui se lisent en un quart d'heure.
Fallait pas nous donner le goût de la littérature, Grande Dame, t'es l'arroseuse arrosée.
(désolé, cette critique est gratos, je lis plus de Nothomb depuis 20 ans, et aujourd'hui j'aurai peur de relire ses premiers romans, je me suis laissé emporter par l'idée que y'a que les cons qui changent jamais d'avis)