Regardez un tableau de Dali : du drôle et de l’inquiétant, de l’impossible et de l’absurde, l’envie de suivre un mouvement joyeux et coloré malgré le vertige… Et écoutez aussi Nina Simone chanter Mr Bojangles : une voix envoûtante et une musique tellement nostalgique…
Un homme, une femme, un enfant. Deux personnalités, l’alchimie d’une attirance mutuelle, une histoire d’amour familiale. C’est une écriture fluide et précise, avec beaucoup de tendresse et d’humour, pour raconter le regard d’un enfant et celui des adultes. Bien sûr, on est irrémédiablement attiré par cette liberté de ton, ce bonheur débridé, cette fantaisie permanente… Pourquoi n’y aurait-il qu’une voie de « bon sens » et qu’une morale « bien-pensante » ?
Alors, pour la première fois, voici une critique écrite et publiée au deux-tiers de la lecture d’un roman, parce que je voudrais ne jamais en connaître la fin… Surréaliste et jubilatoire !