Top 10 Films selon Buddy_Noone

Annotation :

Dans une station polaire, douze hommes découvrent qu’une créature extra-terrestre capable d’imiter à la perfection toute forme de vie s’est infiltrée parmi eux...
Un huis clos paranoïaque à l'atmosphère de fin du monde. Aucune confiance possible, ici les apparences sont trompeuses et chaque protagoniste devient suspect.

Annotation :

Ripley revient affronter ses démons, escortée par une escouade de marines de l’espace. Mais ce ne sera pas une seule créature qu’ils devront affronter cette fois, mais toute une colonie.
Un space-opera guerrier et une formidable extrapolation du premier film. Un chef d'oeuvre de la SF.

Annotation :

Tué par un gang de braqueurs sans foi ni loi, un jeune policier est "ressuscité" par une corporation comme prototype du parfait flic du futur. Sauf que dans les méandres de la machine se trouve encore le cerveau et le subconscient du flic assassiné qui, peu à peu, retrouve la mémoire. Et réalise la vie qu’on lui a volé.
Film au titre débile, Robocop se révèle en fait être une critique acerbe d'une société qui devient folle. C'est surtout l'histoire d’une vengeance d’outre-tombe, celle d'un robot qui rêve d'avoir un jour été humain. Formidable de bout en bout.

Annotation :

Rien de moins que la perfection cinématographique. Pas un seul plan à jeter, pas une seule ligne de dialogue de trop, en 3 heures de film. Leone y sublime ses archétypes comme autant de morts en sursis, condamnés par la modernité. L'un des plus grands films de l'histoire.

Annotation :

Ex-aequo avec Il était une fois dans l’ouest. Un trio de légende pour un western indémodable, bourré de de dialogues et de scènes cultes s’acheminant vers le mythique duel à trois final. Leone n’avait plus rien à prouver après ça. Il livrera pourtant trois autres monuments du cinéma.

Annotation :

Chef d'oeuvre absolu du film fantastique, somptueuse parade gothique alignant les figures mortifères et dérangeantes, "Batman Returns" est non seulement l'une des meilleures adaptations du personnage et de son univers à l'écran mais aussi la réalisation la plus aboutie du cinéaste. Burton adapte enfin le personnage à sa vision si singulière et nous livre une ménagerie inoubliable de créatures tragiques.

Annotation :

L'apogée d'un genre et le meilleur de son auteur. Mann condense les trajectoires d’une galerie de personnages et privilégie la confrontation des légendes De Niro/Pacino en les sublimant par une réalisation en état de grâce. Un authentique chef d'oeuvre en noir et bleu.

Annotation :

Futur post-apo, vision d'une société qui tente de se reconstruire sur de mauvaises bases et qui s'effondre, Akira c'est la description d'une jeunesse à la dérive prise en étau entre deux idéologies radicalement opposées. Et au milieu de ce chaos, l'émergence d'une croyance en une nouvelle figure messianique, le fameux Akira, futur sauveur ou grand destructeur. Un chef d'oeuvre intemporel de la SF cinématographique et un joyau de l'animation.

Annotation :

"Amadeus" est moins un biopic romancé de la vie de Mozart que le portrait ambivalent et désespéré de son rival Salieri. Face au génie musical, le talent seul ne suffit plus et Salieri d'incarner à lui-seul la jalousie dans tout ce qu'elle a de plus contradictoire. D'une beauté sidérante, ce chef d'oeuvre baroque reste à mon sens l'un des plus grands films de l'histoire du 7ème art.

Annotation :

Après avoir ressuscité le héros dans "Batman Begins", Nolan le confronte à sa légendaire némésis, le Joker, adversaire aussi implacable et mystérieux qu’imprévisible. En articulant ses enjeux autour de la notion de justice et des contradictions qu'elle impose, le réalisateur livre ici une des meilleures adaptations du batverse à l'écran et le meilleur film de super-héros à ce jour. Heath Ledger y crève l'écran et livre une performance mythique.

Annotation :

Les premières notes du score de Michael Nyman et Damon Albarn donnent le ton. On est ici en présence d'un film hors-du-commun, totalement inclassable. Incompris à sa sortie, il se ramassa au box-office. À vrai dire, je l'achetais au hasard en DVD. Le sujet du cannibalisme tend à faire croire à un énième film d'horreur débordant de visions gores. C'est loin d'être le cas ici. Le film d’Antonia Bird est un étrange objet filmique qui jongle autant avec les genres qu'avec les tons. Guy Pearce et Robert Carlyle y livrent probablement leurs meilleures performances.