Flops 2021

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Paul WS Anderson persiste à cre dans les tréfonds de la nullité, de l'horreur cinématographique et de la profanation. Une torture.

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Point de renaissance ici, au contraire. Spirale est le dernier clou dans la saga débilo-gore, terriblement ringard, stupide et mal joué. Chris Rock se livre à un numéro d'auto-flagellation proprement sidérant.

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En dépit de son potentiel nanar, Neill Blomkamp n'a ni l'insolence ni le budget et encore moins les idées pour rendre Demonic vaguement amusant. Pénible.

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Nouveau sommet dans l'exploitation putassière, No Way Home réussit la prouesse de souiller les précédentes itérations avec son script torché par un enfant de 6 ans, ses récupérations honteuses et sa facture visuelle gênante

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Exempt du moindre souffle, Kaamelott souffre d'une écriture boursouflée, d'un montage incompréhensible et d'un manque flagrant de maîtrise. Ce premier opus est d'une pauvreté cinématographique impensable.

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James Wan pourrait jouer la sécurité mais non, Malignant ne pourra être comparé à nul autre. Scénario insipide, distribution en PLS, photographie absurde et un rebondissement final ahurissant transforme le film en roller-coaster monstrueusement drôle.

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Vrai (et deuxième) raté ou sabordage volontaire, Venom 2 pousse l'infamie deux fois plus loin que son prédécesseur. Un blasphème, que la grande cohérence dans l'ignominie finit par rendre sympathique.

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Comédie noire ou thriller pérave, M. Night Shyamalan ne choisit jamais. On finit avec un long-métrage malade, parsemé de soubresauts cocasses et d'idées boiteuses.

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Sam Levinson s'égare dans une interminable série de monologues/dialogues pompeux à souhait. S'il souhaitait régler ses comptes avec la critique, le cinéaste vient surtout de lui donner de nouvelles cartouches. Heureusement que son couple vedette limite la casse.

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Plus fidèle qu'il soit à la vision de son auteur, Justice League montre surtout les limites du conteur Snyder. On gagne deux heures de gras, d'effets de manche rapidement irritants, pas mal d'effets visuels atroces et seulement quelques menues améliorations.

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La nouvelle adaptation peut receler de thématiques, son traitement plat ou superficiel achève d'en faire un non-évènement.

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Sans intérêt, ce volet transitionnel meuble avec trois fois rien. D'où un résultat à mi-chemin entre le slasher bas de plafond et le néant horrifique.

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Sollima fait tout ce qu'il peut pour éveiller un script léthargique. Il évite de justesse le coma, mais pas de quoi en occuper ses nuits.

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Au départ distrayant, WW 1984 perd peu à peu tous ses moyens au cours d'une deuxième partie aberrante et franchement mal fagotée.

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David Fincher devrait presque demander des royalties pour une récupération aussi flagrante de son Gone Girl. Sans le génie ni la profondeur. Ce qu'il reste ? Une contrefaçon.