Dernier chapitre de la trilogie, Hurry Up Tomorrow est un immense barnum pop où The Weeknd n'a que très peu d'efforts à faire pour convaincre l'auditoire. Monsieur évolue dans sa zone de confort entouré d'une production de blockbuster (Mike Dean quel roi) où très peu peuvent se targuer d'avoir son aisance.
Le canadien ne s'interdit rien, il met tout ce qu'il a en stock, même trop d'ailleurs l'album perdant de sa grandeur au fil des 80 minutes avec au moins 3 à 4 morceaux de trop sur la dernière partie. Mais une fois de plus en matière de musique ultra grand public, difficile de trouver un objet de meilleur qualité.