Non parce qu’à mes yeux ça parait évident. J’veux dire, de magnifiques graphismes, des bandes son extraordinaires avec des paroles qui font jaillirent des tonnes d’émotions trop fortes pour ton p’tit cœur de fragile.. Des sentiments qui peuvent raviver des sentiments tels que l’amour, les doutes, l’incompréhension, l’égoïsme, la haine, la culpabilité, la solitude, le désespoir, l’espoir, la peur, ce manque éternel de l’être aimé et ce vide qui s’installe et qui te bouffe de l’intérieur.. mais surtout ce sentiment de craquage. Tout comme Mafuyu, nous sommes submergé par une déferlante de nostalgie puis soudain d’un grand frisson qui nous parcourt le corps et nous donne l’impression d'avoir été frappé par la foudre de plein fouet. Nous sommes comme dans le besoin de mêler musique forte et paroles tristes, comme si au lieu d’accompagner la musique, les paroles étaient juste une excuse pour crier tout ce pour quoi on ne peut rien faire. Évacuer notre amertume à travers des cris camouflés par un art appelé « le chant » aussi le moyen de s’exprimer qui touche le plus de personnes au monde. La musique est universelle et sert à véhiculer tant de messages et de laisser couler certaines larmes qu’on ne peut voir sans être habiter par les mêmes démons et c’est pour cela qu’en haut de ma pyramide se trouve Nana, Given et Fukumenkei Noise. ionnée de musique depuis toujours, ceux qui prétendront que je regarde cet anime pour du Boy’s Love sont bien naïfs. Dans cet anime, on a juste affaire à des amours impossibles dignes de Kuzu no Honkai, des tragédies digne de Nana et des « sentiments de transe » à la Fukumenkei Noise. Je suis entièrement dans ma bulle quand je regarde cet anime, je ne peux m'empêcher de pleurer toutes les larmes de mon corps quand je vois que ces sentiments sont si semblables aux miens, sont si forts et incontrôlables. Nous ne pouvons que succomber à nos émotions..