Avec de très bonnes références comme Confession (c'était également mon dernier drama coréen), Kim Cheol-Kyu (créateur) nous donne envie de lancer Flower of Evil.
Le résumé du site retranscrit très bien le drama donc je ne vais pas raconter les choses autrement : L'inspectrice Cha Ji-Won est mariée à Baek Hee-Sung, un homme qui, derrière son masque de bon mari et de bon père, lui ment depuis les premiers jours. Alors qu'elle enquête sur un meurtre, Ji-Won tique sur le comportement de plus en plus étrange de son époux.
Comme Confession, l'intrigue familiale et policière est la grande majorité du temps très bien ficelée. Elle fait honneur à son synopsis qui nous laissait extrêmement curieux. Des mystères persistent longtemps aussi bien pour l'inspectrice Cha Ji-Won que pour les téléspectateurs sur l'identité du tueur en série dont/et/ou les secrets de son mari Baek Hee-Sung.
Je n'ai réellement douté de l'intrigue du drama qu'une seule fois, c'était au cours d'un épisode 3 peu pertinent :
la séquestration grotesque du journaliste par Baek Hee-Sung (tandis que Cha Ji-Won semblait s'approcher trop rapidement d'un lourd secret).
J'ai pu me voir abandonner le drama après cet épisode mais c'est finalement resté un cas isolé qu'il a été facile d'oublier dès l'épisode 4. Des éléments qui me dérangeaient ont trouvé leurs explications par la suite pour me donner tort. Le drama se joue plutôt bien de nos prédictions, c'est agréable.
Si ce age fait exception
bien que le réveil du véritable Baek Hee Sung ne soit pas non plus d'une logique scénaristique implacable
je n'ai pas pour autant été continuellement ionné par le drama. L'intrigue autour du couple a toujours été intéressante,
jusqu'à ce que Cha Ji-Won et moi-même comprenions que Baek Hee-Sung n'était pas le coupable, et que l'Histoire finirait bien pour eux.
Celles impliquant les autres personnages (le journaliste en premier lieu) m'ont bien moins captivé. C'est surtout un temps faible autour des épisodes 10 à 14. Les deux derniers épisodes viennent néanmoins bien clôturer l'histoire mais toujours sans émoi pour ma part.