Ma note n'est pour le moment que sur l'épisode 1 de la saison 7 :
Ce premier épisode nous présente un couple amoureux, complice, qui rayonne. Même les épreuves (comme l’impossibilité d’avoir un enfant) sont affrontées avec tendresse et optimisme.
Mais un drame brutal vient briser cet équilibre.
Pour préserver leur amour, une seule issue : pactiser avec le diable ici incarné par une entreprise ultra capitaliste, amorale, déshumanisée. Elle promet (et réalise) des miracles, mais à un prix démentiel : psychologique, financier, moral.
L’épisode est remarquablement écrit, interprété et rythmé. Black Mirror, malgré les années et la noirceur croissante du monde, parvient encore à nous livrer des perles glaçantes. Des fictions qui, hélas, résonnent comme des futurs probables. Trop probables.