Il y en a qui préfèrent "Brown Sugar", trois ans plus tard, et j’ai suffisamment virevolté sur l’intro diabolique de Keith dans les boîtes et parties londoniennes du début des seventies pour comprendre cette ferveur. Mais pour moi, la tempête stonienne a plutôt commencé quand un ami compatissant a posé le 45 Tours déjà usé de "Jumpin’ Jack Flash" sur l’électrophone jaune et rouge de mon enfance. Sous une pochette délurée que les parents n’allaient pas aimer du tout (masque de peintures barbares), le riff scalpeur de cette chanson de sorcière est le manifeste de ce que les Stones allaient incarner pendant 3 ou 4 courtes années : tout simplement le triomphe de la débauche...
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à ses listes Les meilleurs morceaux des Rolling Stones
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le 29 avr. 2015
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Ce commentaire n'a pas pour ambition de juger des qualités cinématographiques du film de Ladj Ly, qui sont loin d'être négligeables : même si l'on peut tiquer devant un certain goût pour le...
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Cette chronique est basée sur ma propre interprétation du film de Charlie Kaufman, il est recommandé de ne pas la lire avant d'avoir vu le film, pour laisser à votre imagination et votre logique la...
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