Belle description d'un futur qui se déroule à 98% dans la réalité virtuelle. Un écriture efficace, épurée, volontairement redondante à chaque chapitre. J'ai bien aimé. Tout espoir de s'émanciper des algorithmes est bien sûr exclu, et toute tentative de s'y opposer est traitée comme nouveau hobby sans importance qui va bientôt er.
Créée
le 16 avr. 2021
Critique lue 37 fois
Mon Ted™ est vidé de son liquide nutritif. Premier réflexe du matin, j’enfile mes lentilles de AugEyez™ qui me permettront de me donner l’illusion que le monde n’est pas cloisonné à ma pièce...
le 27 oct. 2019
1 j'aime
Aussi irrévérencieux et incorrect que pour son précédent livre, Jean Baret prend encore le parti de la bousculade pour inviter à réfléchir à nos travers et à la direction que nous prenons, bon gré...
Par
le 12 oct. 2019
1 j'aime
Belle description d'un futur qui se déroule à 98% dans la réalité virtuelle. Un écriture efficace, épurée, volontairement redondante à chaque chapitre. J'ai bien aimé. Tout espoir de s'émanciper des...
Par
le 16 avr. 2021
Dans ce livre, l'auteur fait entrevoir la profondeur des sentiments tourmentés de ses personnages. On plonge dans les méandres du tragique sur les thèmes des liens familiaux, de l'hérédité, de la...
Par
le 12 nov. 2022
1 j'aime
"Construire un feu" raconte le froid. "Perdu la face" relate le formidable pied-de-nez que fait un chercheur d'or avant de mourir à un grand chef indien. A l'inverse, la très frustrante nouvelle "le...
Par
le 21 avr. 2021
1 j'aime
" le seigneur des porcheries" raconte comment un gosse d'une petite ville ravagée par la pauvreté, l'alcool la consanguinité le chauvinisme racisme etc.... Grandit et se fait repoussé injustement par...
Par
le 14 août 2021
1 j'aime
