Vers la douleur
J'aime bien François Bégaudeau, le personnage médiatique, le prof dans "Entre les murs", et j'avais beaucoup apprécié son roman "La blessure, la vraie". Mais cette fois-ci, "Vers la douceur" (son...
Par
le 9 nov. 2019
3 j'aime
Alors ... les tribul-divagations sexuelles de trentenaires....Mouais...On se reconnait parfois dans la façon dont la génération 80' gère (mal) / digère ses relations amicales, fraternelles, amoureuses... Parfois seulement.
és quelques bons mots du débuts (qui deviennent aussi mauvais et lourds qu'un canard - brocolis), on se lasse vite. Heureusement ce roman se lit tout aussi vite (un après-midi gris pour moi). Il manque de sel, de saveurs, d'humour, d'amour...
Est-ce que la platitude de nos relations s'est calquée sur son récit? Est-ce un effet de style? J'en doute. Hélas.
Exemple au hasard :
“Sortir avec un dépressif quelle marmelade d’oranges en effet”.
Le personnage de Flup, quelques saynètes, m'ont parfois fait penser à la fraîcheur la douceur) adolescente de mes lectures vianesques (L’Écume des jours)... et puis non, non, non.
Les trentenaires qui rêvent de se taper des 40naires. Non.
Le combo bière-pizza-rugby. Non plus.
Bégeaudeau se pense écrivain (les 200 pages en attestent...??) mais non : comme on disait dans les années 80, c'est juste une illusion.
Et elle n'est pas légère.
Créée
le 29 oct. 2018
Critique lue 170 fois
4 j'aime
J'aime bien François Bégaudeau, le personnage médiatique, le prof dans "Entre les murs", et j'avais beaucoup apprécié son roman "La blessure, la vraie". Mais cette fois-ci, "Vers la douceur" (son...
Par
le 9 nov. 2019
3 j'aime
Le livre est écrit dans le même style que les autres de François Bégaudeau, avec de l'humour, des réflexions sur son époque, et des tournures de phrases (on doit parfois relire deux fois pour...
Par
le 26 mars 2025
Ce sont des mots à n'en plus finir, des phrases qui finissent par ne plus savoir où donner de la tête, car les personnages ne pensent qu'à la queue. C'est évident que l'intrigue n'est pas le point...
Par
le 22 juin 2020
Pourquoi après avoir mis tant d'intelligence dans son premier film L"Humanité, puis plus encore dans "Ma Loute", Bruno Dumont a, sans finesse, envisagé une satire du monde des médias tv. est...
Par
le 7 mai 2024
2 j'aime