Cédée à de nombreuses reprises, la revue continue à traverser des périodes de crises, certaines d'ordres financières, d'autres plus déontologiques. Malgré cela (ou peut-être grâce à cela, va savoir), la revue garde la tête hors de l'eau et, après avoir publié quelques textes qui la placent en liste des nominations de prix prestigieux ou avoir donné sa chance à des auteurs depuis renommés, elle va même survivre à la fin de l'ère du pulp. Elle existe encore aujourd'hui. Mais si on en croit Jacques Sadoul, elle n'a rien proposé depuis 1932 qui vaille la peine d'en faire un autre volume. Il faut dire que, depuis sa création un siècle plus tôt, elle aura semble-t-il recyclé plus de textes de secondes mains qu'elle n'en aura proposé d'originaux. Ceci explique sans doute cela.
Touchez mon blog, Monseigneur...