La Huitième Couleur par SmartMartian

Humour anglais, situations improbables et burlesques, personnages instantanément attachants ou détestables, ambiance fantasio-médiévale de bon aloi, une histoire qui ne vous lâche plus jusqu'à ce que vous ayez refermé le livre: La Huitième couleur, et sa suite obligatoire, Le Huitième Sortilège, sont à la fois votre ticket d'entrée dans le délirant Disque-Monde et les deux meilleures annales du Disque-Monde (à l'exception peut-être de Mortimer). Certes, le style de Pratchett n'est pas aussi ondoyant, flegmatique dans l'humour et riche de mots prometteurs de rebondissements incroyablement ionnants qu'il l'est aujourd'hui, mais le lecteur a sous les yeux la genèse pure et empreinte d'une fraîcheur incroyable d'une saga qui connaîtra ensuite des hauts et des bas. Et surtout, il découvre Rincevent. Et Ankh-Morpork. Comme je t'envie, lecteur.
10
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le 20 nov. 2010

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SmartMartian

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