Quand j'ai fini ce livre, j'ai eu un coup de poing. Clairement le livre prend toute sa tournure avec les trois dernières pages. Même si avant il reste un livre extrêmement bien écrit, avec des accents très oniriques qui m'ont fait penser à Matthias Malzieu, doté d'une superbe émotion et empathie, le génie du livre, ce sont ses trois dernières pages. L'enfant-rien, ce n'est pas seulement l'histoire d'un enfant qui cherche son identité, c'est plus que ça. C'est un drame familial qui se dessine entre les lignes.