Critique de Une jeunesse qui s'enfuit - Donjon Potron-Minet, tome -97 par OiLpO
"Quand on décide de ne plus avoir de loi, il faut en er les conséquences"
Par
le 24 févr. 2025
p163 Comme l'écrira Angelo Tasca en 1938, Mussolini sait satisfaire "les ions vagues des foules et les intérêts précis des capitalistes"
p165 Trotsky compose la fable suivante :
"Un marchand menait des bœufs à l'abattoir. Le boucher s'avance, un couteau à la main
- serrons les rangs et transperçons ce bourreau de nos cornes, propose un des bœufs.
- Mais en quoi le boucher est-il pire que le marchand qui nous a conduit jusqu'ici avec sa trique, lui répondirent les bœufs qui avaient reçu leur éducation politique au pensionnat de Manouilsky.
- C'est qu'ensuite nous pourrons régler son compte au marchand !
- Non, répondirent les bœufs à principes à leur conseilleur. Tu es la caution de gauche de nos ennemis, tu es toi-même un social-boucher. Et ils refusèrent de serrer les rangs." (La Révolution allemande et la bureaucratie stalinienne, 1932)
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Créée
le 11 oct. 2024
Modifiée
le 12 oct. 2024
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"Quand on décide de ne plus avoir de loi, il faut en er les conséquences"
Par
le 24 févr. 2025
p67 "Estomaqué, le dominant découvre que l'arbitraire, qui l'indifférait quand il n'enfoncait que les pauvres, peut le desservir. Il crie partout à l'injustice. On le bafoue, on le spolie ! On l'a...
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le 3 nov. 2024
p163 Comme l'écrira Angelo Tasca en 1938, Mussolini sait satisfaire "les ions vagues des foules et les intérêts précis des capitalistes" p165 Trotsky compose la fable suivante : "Un marchand...
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le 11 oct. 2024