Après l'excellente trilogie de Bill Hodges, et un recueil de nouvelles efficace, le King nous gratifie d'un roman court, porté par ses thématiques classiques, l'enfance, la transmission, la personnification du mal, avec son écriture classique, qui fourmille de détails et qui reste page-turner au possible. On s'approche un peu de Shining, beaucoup de 6ème sens tout en restant dans l'identité classique de Stephen King.
Jamais désagréable, plutôt bon au final avec, comme toujours, une incapacité à gérer correctement les scènes finales, expédiées en deux pages. . Mais, cependant, un ouvrage qui reste en deçà des dernières productions, rappelant en cela le ventre mou des années 90-2000 ou l'institut.
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le 16 déc. 2021
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Voilà. Malgré l'ignoble Aladin par Kev Adams et le supplice des quatre fantastiques , il aura fallu attendre les tout derniers jours pour se taper la pire purge de l'année 2015, montrant bien que...
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