Michael Tolliver est vivant par filleauxcraies

Complètement conquise par la série des Chroniques de San Francisco, j'avais peur de lire cette suite tardive. Bien vu : tout ce que j'aimais dans les Chroniques, à commencer par les multiples personnages aux multiples point de vue, a disparu. Michael Tolliver parle à la première personne, c'est hyper perturbant ; l'intrigue est ennuyeuse, les scènes de cul sont barbantes et inutiles. L'esprit des Chroniques est complètement absent... Je comprends que l'auteur ait envie de se renouveler, mais là, c'est juste raté.
3
Écrit par

Créée

le 23 sept. 2010

Critique lue 337 fois

filleauxcraies

Écrit par

Critique lue 337 fois

D'autres avis sur Michael Tolliver est vivant

Critique de Michael Tolliver est vivant par Zéro Janvier

"Michael Tolliver est vivant" est le septième et dernier volume des Chroniques de San Francisco d'Armistead Maupin. L'auteur américain met un point final à une saga qui m'avait enchanté lorsque je...

le 26 sept. 2010

1 j'aime

Certains personnages de roman sont éternels.

Michael Tolliver est vivant/ Amistead Maupin Michael Tolliver est vivant" est le septième volume des Chroniques de San Francisco d'Armistead Maupin Lorsque j'ai emprunté le premier volume à...

le 6 août 2015

Critique de Michael Tolliver est vivant par Kabuto

Bien sur le temps e même pour les anciens habitants de Barbary Lane, mais je n’étais pas prêt à découvrir mes amis aussi vieux. Brian à plus de soixante ans et Michael a des cheveux blancs...

Par

le 23 févr. 2025

Du même critique

La mariée gnan-gnan

Ce que j'avais pressenti dès la quatrième de couverture - mais pourquoi l'ai-je pris quand même ? - s'est vérifié dès les premières pages : cette mariée m'a hérissé le poil. C'est l'histoire d'une...

le 23 sept. 2010

1 j'aime

Critique de Le Secret de Brokeback Mountain par filleauxcraies

Ce serait probablement un 8 s'il n'y avait ces maquillages désastreux. Le vieillissement des personnages est tellement raté que je ne crois plus du tout à l'histoire... Émotion, zéro, à part une...

le 18 oct. 2010