Cover Series et slimeries (2025)

Series et slimeries (2025)

Liste de

39 séries

créée il y a 5 mois · modifiée il y a 5 jours
One Piece
6.5

One Piece (2023)

58 min. Date de première diffusion : 31 août 2023 (). 1 saison. Aventure, Action, Fantastique

Série Netflix

Lucindrum a mis 6/10.

Kaiji: Ultimate Survivor
7.9

Kaiji: Ultimate Survivor (2007)

Gyakkyou Burai Kaiji: Ultimate Survivor

25 min. Date de première diffusion : 3 octobre 2007 (Japon). 1 saison. Animation, Thriller, Seinen

Anime (mangas) NTV

Lucindrum a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Sonny Boy
7.4

Sonny Boy (2021)

25 min. Date de première diffusion : 15 juillet 2021 (). 1 saison. Science-fiction, Action, Animation

Anime (mangas) Tokyo MX

Lucindrum a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Ultraman
4.9

Ultraman (1966)

30 min. Date de première diffusion : 1966 (). Action, Aventure, Science-fiction

Drama TBS

Lucindrum a mis 8/10 et la regarde actuellement.

Annotation :

- Ultraman Arc
- Ultraman Tiga

10 ans avec Hayao Miyazaki
8.2

10 ans avec Hayao Miyazaki (2019)

10 Years with Hayao Miyazaki

50 min. Date de première diffusion : 24 février 2019 (Japon). 1 saison. Documentaire

Émission TV NHK

Lucindrum a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Ce Lac a du Succès (2023)

10 min. Date de première diffusion : 22 décembre 2023 (). 1 saison. Drame

Websérie YouTube

Lucindrum a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Vibe un peu lynchienne funky j'aime beaucoup, évidemment la musique de Varnish en fond est délicieuse, quel plaisir à regarder, ça joue pas mal avec le temps et le 4e mur, le duo de flic est trop funky et les bagnoles sont jolies, chouette petite série.

Thunderbolt Fantasy
7.6

Thunderbolt Fantasy (2016)

Thunderbolt Fantasy: Tōriken Kōki

25 min. Date de première diffusion : 8 juillet 2016 (Taïwan). 1 saison. Fantastique, Action, Animation

Anime (mangas) Tokyo MX

Lucindrum a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

L'enfant parfait du toku, du wuxia et de l'animation japonaise dans tout son esprit chuuni à fond. De loin le meilleur truc d'Urobuchi.
Les designs sont tellement beaux ça en devient criminel, on dirait un mélange du style d'Amano, d'Amemiya, donc littéralement mes artistes préférés. Puis les vêtements des personnages qui volent au vent, qui ont une vraie présence physique, je pourrais en pleure tellement c'est beau frr.... Le twink aux cheveux blancs on dirait trop Cécile de FF4.
Le début est un petit peu imbitable mais venant d'Urobuchi, c'est logique.
La série est étonnamment gore d'ailleurs, même si c'est des marionnettes.
La production value est transcendantale, tout est trop beau, les décors sont beaux, les persos, les armes, tout est beau dans cette foutue série.
La réal fait vraiment très toku, je me demande si c'est du à la participation d'Urobuchi sur Kamen Rider.
La mythologie et l’esthétique générale sont trop prenantes au dela du lore dump, baise le world building de One Piece.
le côté voyage à travers l'Asie médiévale est trop délicieux purée aussi...
Tous les persos sont là pour farmer l'aura et ça me va, les chorégraphies de combat sont vraiment impressionnantes pour une série avec des marionnettes.
Dans sa première moitié la série introduit 12 000 persos et concepts mais qu'est ce que c'est bon n'empêche. Y a un peu un côté méchant de la semaine aussi au début que j'aime beaucoup.
C'est marrant on peu voir les jambes lors des scènes de marche, crop lors des dialogues.
Par contre c'est pire que le crack, une fois commencé ont peut jamais s'arrêter.
Les dialogues sont hyper musicaux, joués comme des musiques, dialogues particulièrement bien écrits, la trad française joue pas mal, les tournures de phrases sont délicieuses.
Sawano est un peu hors sujet au début mais après j'ai eu la vision. Le thème principal on dirait une chute de studio de Xeno X mais on stream c'était son prime. Les ptis leitmotive dans l'ost aussi quel délice, les ptits sax et la flute, trop une musique de méditation huilée de branleur fou. Y a une petite mélodie au piano qui me fait trop penser à l'écran titre de Shadow Hearts.
Que ça jacte, mais j'aime trop trop ça, même en dialogue ça farme l'aura.
Le twist final sur le prota, jsp si c'est possible de faire un truc plus "litteraly cololest thing ever". Ca sort du cul mais qu'est ce que c'est bon.
Hâte de voir la suite.

Kamen Rider
7.4

Kamen Rider (1971)

Kamen Raidā

25 min. Date de première diffusion : 3 avril 1971. Action, Aventure, Science-fiction

Drama TV Asahi

Lucindrum a mis 8/10 et la regarde actuellement.

Annotation :

- Kamen Rider Saber

Kamen Rider Saber (2020)

23 min. Date de première diffusion : 6 septembre 2020 (Japon). Jeunesse, Action, Drame

Drama TV Asahi

Lucindrum a mis 7/10.

Annotation :

Dans l'ensemble la série est vraiment sympa mais ça manque vraiment de sel sur pas mal d'aspect, la série essaye de développer des thèmes un peu intéressants comme le rapport de l'homme à la fiction ou de l'importance de l'art dans l'existence humaine.
Esthétiquement ça alterne entre du sous Game of thrones, au point que ça en reprend un peu les sous intrigues incestueuses. Y a un peu de Sf mélangé à des p'tits éléments de fantasy en mode Fullmetal Alchemist avec les cercles.
La série e son temps à récap des trucs ça devient imbuvable au bout d'un moment, ça devait étre un calvaire à suivre en hebdo. Au point où dans pas mal d'épaisseur y a 10 minutes de récap pour 10 min de plot. Je comprends que c'est justifié par le COVID qui a un peu Impacté la prod mais bon.
D'ailleurs y a pas mal de scènes en extérieur et les effets spéciaux sont vraiment pas archi dégueux vu le contexte de prod. Bon à part la scène du pont de lumière où le fond vert se voit vraiment. D'ailleurs je pense que c'est la reiwa avec le plus d'effets pratiques genre pyrotechniques, qui sont vraiment trop cools d'ailleurs.
L'intrigue est intéressante, la sous intrigue de la guilde est vraiment chouette aussi, le côté Rider vs organisation fait plaisir, ça ressemble un peu à ce que fait Blade ou Kabuto.
J'aime bien l'idée de Touma qui est un auteur mais c'est vraiment sous exploité jusqu'à l'épisode final, j'aurais trop aimé le voir un peu plus exploité comme les scènes de Kuuga avec des enfants, qui leur file des conseils et des coups de main.
D'ailleurs en parlant de rapport aux autres séries, en terme d'esthétique, de symbolique elle pique beaucoup à Blade et à Kuuga, mais sans avoir l'impact du traitement de ces dernières.
En terme de scène d'action, c'est peut être la plus originale, surtout basée sur l'escrime et les duels à l'épée, j'aurais aimé un peu la folie ou l'originalité characterisé par le genre Wuxia.
Les riders sont cools d'ailleurs, j'aime bien les costumes, assez liés thématiquement, similaires mais reconnaissables. Heureusement d'ailleurs parce que y en a putain de 10 dans la série.
J'aime bien leur écriture, surtout les jobbers de l'équipe, genre Ren qui a trop aucun ennemi, pépère le ninja branleur avec son pote le monstre fan de nouilles. Rintaro est très homosexuel, basé. L'idée derrière Kento de gars résigné persuadé que le futur qu'il a vu est le seul possible et qui du coup par lâcheté pousse ce futur à arriver.
Touma est un bon main character de Rider mais bo

Thunderbolt Fantasy: Sword Seekers 2
7.8

Thunderbolt Fantasy: Sword Seekers 2 (2018)

Thunderbolt Fantasy: Touri-ken Yuuki 2

Date de première diffusion : 1 octobre 2018 (Japon). Fantasy, Drame, Action

Anime (mangas)

Lucindrum a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

On sent un vrai step up en terme de prod, toutes les marionnettes sont plus belles, les décors sont encore plus cool, les chorégraphies de combat sont encore plus impactantes et le sound design impeccable est tout aussi kino. Par contre ça fait trop peur de voir des marionnettes avec des dents, surtout le personnages de l'inspecteur qui est terrifiant.
Ça se sent aussi que la série voulait amorcer une transition vers une épopée beaucoup plus épique sur le temps long, au point où la saison sert surtout à set up pleins de petits trucs pour la suite, genre les stèles qui parlent en mode NERV de Evangelion.
Sawano était toujours aussi réveillé sur cette saison ça fait aussi plaisir.
Ca me fait trop rire de me dire que le même village s'est fait raid 13 fois, la même semaine.
J'aime beaucoup les nouveaux personnages et leur écriture, surtout les antagonistes, la meuf avec la coupe de Manon de street fighter notamment, par contre c'est aberrant de se dire que le meilleur personnage d'Urobuchi c'est une putain d'épée qui parle.
La fin m'a fait tombé de ma chaise par contre qu'est ce qu'il se cook putain de merde.
Peut être un petit peu préférée la première saison car les hauts sont plus hauts mais ouais quand même une sacrée dinguerie, bien hâte de voir le film sur le roux funky au pipa qui parle. Tout ça avec son écriture tout en malice, c'est tellement savoureux de voir chaque putain de trahison de l'oiseau dans la série.

.Hack//Liminality
6.4

.Hack//Liminality (2002)

30 min. Date de première diffusion : 20 juin 2002 (Japon). 1 saison. Drame, Science-fiction, Aventure

OAV

Lucindrum a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

A jamais une petite curiosité intéressante figée dans son époque mais est un peu trop dépendante du jeu à mon gout pour être totalement appréciée, logique par son statut de dvd bonus de jeu ps2 mais bon, je trouve que SIGN, dans le même genre n'avait pas ce problème. En soit ça me dérange pas parce que normalement c'est quasi impossible de pouvoir le voir sans avoir joué au jeu ou d'avoir au moins la boite, fin ça c'est dans le cas du cadre full légal patati patata.
J'aime bien quand même cette idée d'avoir des images du jeu entremêlée de silhouettes de personnages de l'animé, histoire d'assumer à fond de faire du transmedia.
Le premier OAV fait 2 fois la longueur des 3 autres c'est très rigolo, d'autant plus que c'est vraiment le plus solide visuellement, y a un ptit drop pendant le 2 et 3, le 4 c'est presque aussi bon.
La scène de l’hôpital et en général pas mal de petits détails me font beaucoup penser à Digimon Tamers, qu'en vrai je préfère à Lain qui est souvent comparé aux OAV, ce que je trouve pas pertinent, c'est beaucoup plus une vibe Ring d'Hideo Nakata, dans son rapport au jeu traité un peu comme la cassette de Sadako, qui est d'ailleurs namedrop dans l'OAV 3. Et en général la parano constante de certains perso m'a beaucoup fait penser à Black Water.
Le studio et le réal ont vraiment pas l'air d'avoir fait grand chose après et c'est trop dommage car y a vraiment une pure vibe.
Y a un taff sur le son que je trouve vraiment monumental, sur l'espèce de bruit de cloche qui retentit dans la tête des persos qui ont pu rencontrer Skeith ça rajoute un vibe occulte au truc délicieuse. On dirait presque un épisode coupé de Kowasugi ou un truc de Shiraishi en général, le perso de l'informaticien lunettes du 3 on dirait trop le mec chapeau aluminium de Noroi.
Le vieux man chemise violette est trop funky.
Y a un screamer de l'ost de SIGN à un moment, quelque soit l'oeuvre .hack, Yuki Kajiura est surpuissante.
J'aime bien le traitement de tout ce qui est fait comme particulièrement vain, c'est très pessimiste, sur le fait qu'une bande de geeks peut pas faire grand chose face à un système géant comme ça. Notamment sur les nombreux longs plans sur des villes et endroits paisibles sur le fait qu'au fond ce qu'il se e est bien loin du monde normal sauf pour le super épisode en mode survival horror dans le centre commercial fermé.
J'aime bien le fait qu'il y ait 4 op différents avec des extraits du jeu à chaque fois avec lequel c'était livré. Ca souligne encor

L'Enfant et le Maudit
7.6

L'Enfant et le Maudit (2019)

Totsukuni no Shoujo

10 min. Date de première diffusion : 10 septembre 2019 (Japon). Animation, Fantastique, Shōnen

OAV

Lucindrum a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Pur délice court-métrage pour enfant, en mode un peu craie pastel comme de l'animation sur sable.
Je comprends d'autant plus pourquoi c'est WIT qui s'est occupé de Ranking of Kings.
Vraiment joli et onirique, pure vibe la fin et le sakuga sur le couloir

L'Enfant et le Maudit
7

L'Enfant et le Maudit (2022)

Totsukuni no Shoujo

1 h 10 min. Date de première diffusion : 10 mars 2022 (Japon). Drame, Fantastique, Animation

OAV

Lucindrum a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Vraiment un pur délire onirique pesant surpuissant, le genre de bail que j'aurais trop aimé voir enfant. Sacré délice visuel poh poh poh le repas 2 étoiles, le kebab sauce biggie algérienne. Un petit conte de fée hyper pesant dans la seconde partie, trop le truc qui faut montrer à des gamins si y avait eu une VF.
Visuellement ça m'a beaucoup fait pensé au film "Brendan et le secret de Kells" qui m'avait trix dans son côté vachement lourd psychologiquement pour un truc pour gosse, faut s'accrocher quoi.
Y a un côté très obsédant dans les décors et les personnages sont les couleurs et le côté crayonné bougent en permanence.
Sacrée évolution visuelle par rapport au premier petit court, notamment du à un espèce de patchwork d'animation différente à pas mal de moments, sacré voyage, je pense que ça va me trix pendant des années.
Vraiment un bête de CD le professeur, encore plus impressionnant et expressif en mouvement.
Le début qui commence en mode relation mignonne entre gamine funky et grande créature taciturne pour devenir le plus grand crève cœur jamais fait à la fin, ça c'est du ciné...
J'aime beaucoup les idées dans les transformations et les représentation de la malédiction, en mode être hybride.
Maxi délice prenant à voir après une heure du matin pour être vraiment transporté par le bail, notamment par la musique toute onirique.
Bien pesant bien mystique bien délicieux.

Bref.2
8

Bref.2 (2025)

35 min. Date de première diffusion : 14 février 2025 (). 1 saison. Comédie, Comédie dramatique

Série Disney+

Lucindrum a mis 5/10.

Annotation :

Trop long pour SC visiblement
https://pastebin.com/CFbJ61wP

Thunderbolt Fantasy: Sword Seekers 3 (2021)

Thunderbolt Fantasy: Touri-ken Yuuki 3

25 min. Date de première diffusion : 3 avril 2021 (Japon). 1 saison. Arts martiaux, Action, Fantasy

Anime (mangas) AT-X

Lucindrum a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Vraiment surtout une grosse saison de setup mais de manière tellement bordélique que ça en devient juste archi kino avec ses 40 000 concepts à la seconde. Genre entre voyage dans le temps, téléportation cyborg, clones et autres déguisements.
Les décors et les idées visuelles sont de plus en plus chouettes, lachant un peu les décors réalistes de la saison 1 et 2 pour des bails oniriques avec des trucs de SF omega kino à base de cyborg et tout.
Les poupées sont plus belles à chaque saison c'est top grave, pareil pour les chorégraphies même si ça s'est pas battu des masses cette saison.
Y a juste eu un peu trop de persos, mais bon heureusement qu'une bonne partie clamse, ça aurait été un enfer de s'en souvenir de tous pour la S4.
Ça fait plaisir de voir les persos principaux plus développés avec de longues séquences introspectives trop délicieuses.
La série se lance vraiment dans une grande épopée épique dans la longueur, du coup un peu dur de juger sans savoir comment ça se fini, du coup bien hâte de la suite et en espérant que le film prenne pas 1000 ans à sortir.

Ultraman Tiga (1996)

Urotoraman Tiga

30 min. Date de première diffusion : 7 septembre 1996 (Japon). 1 saison. Fantastique, Action

Série TBS

Lucindrum a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Je comprends vraiment l'aura légendaire colossale que se tape la série, c'est une folie de commencer ton ère Heisei comme ça.
Toute la série a ce côté pur kitsch vibe de vieux film de SF bien 90s avec cet esprit rétro-futuriste bien héritée des séries des années 60 de la Tsuburaya.
Colossaux concepts d'épisodes d'ailleurs, que ce soit celui avec le petit xorblux clown mignon ou ceux en mode full ésotérisme vampire transhumanistes de l'espace oméga kino.
Vraiment une série qui prend tout ce qui a été fait depuis le début de la SF pour essayer de proposer un mélange en même temps omega chelou et bizarrement cohérent avec son principe.
Puis bon, sacrément fan de la colo surchargée de la série avec ses paysages et ses vieux effets en CG crado.
Pur délice Heisei, qui taff encore plus le symbolisme christique d'Ultraman avec son propre anté christ et l'imagerie totalement eschatologique des derniers épisodes.
Puis bon sacrées larmes lors de l'épisode où il rencontre Eiji Tsuburaya.
En fait c'est la saison la plus intéressante à analyser en pleine décennie perdue tellement elle est porteuse d'espoir mais toujours avec ce ton amer parfois froidement réaliste.
Mon final préféré de tout Ultraman.
Difficile d'égaler ça je pense.

.hack//SIGN
6.4

.hack//SIGN (2002)

25 min. Date de première diffusion : 26 février 2004 (). 1 saison. Animation, Seinen, Action

Anime (mangas) TV Tokyo

Lucindrum a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Revu cette année parce que j'avais pas beaucoup de souvenirs et que je voulais me refaire la licence et la faire découvrir à une amie.
Vraiment une anomalie maxi cheap, qui profite de son manque de budget et de temps pour être assez inventif dans son montage et ses décors, qui sont vraiment magnifiques. Ils ont vraiment ce pur côté abstrait Y2K semi fantasy avec des inspis SF de cette époque à peine cachées.
Ce côté débrouillard ça se voit carrément dans l'épisode recap de la série, sans aucune narration qui remonte et redonne aux images de la série d'épisodes pas liés entre eux une toute nouvelle signification.
C'est vraiment un animé qui prend son temps, mais vraiment à fond, au point que la série cite En attendant Godot, ce qui est pertinent vu toute la structure du premier acte qu'on pourrait carrément appeler "En attendant Tsukasa".
A partir de la deuxième moitié, la série décide de prendre un tournant assez radical, abandonnant les errances de son personnage principal pour se concentrer sur les relations naissantes de cet internet balbutiant des années 2000 et de comment les espaces virtuels ont pour beaucoup été des havres de paix pour des marginaux, limités par leur existence réelle. L'animé s’avère particulièrement avant-gardiste là-dessus mais pas que, notamment sur tout son rapport à l'identité de genre et comment, même hors de l'espace physique, les normes sont violemment enfoncées par des entités de contrôle et par les pairs d'internet.
Je me souvenais par contre beaucoup moins bien de l'écriture de ses personnages, hormis le trio principal, qui sont tous des faces différents de ces gens peuplant les espaces virtuels, du salaryman blasé à l’intérimaire de 23 ans un peu paumé. Tous sont écrits avec un réalisme assez puissant, comme si les auteurs connaissaient ces profils, voir même s'était représentés eux-mêmes dedans, leur craintes et espoirs de petits geeks à l'aube de cette technologie fascinante.
.Hack//Sign est un animé fascinant et ionnant qui questionne ces notions d'échappatoires virtuels et mets au centre le besoin pour les marginaux du monde entier de s'allier pour créer un monde plus tolérant et laissant libre court à l'expression de genre de chacun.
Dans un monde en pleine résurgence du gamergate et la manière dont internet a grandi en plus de 20 ans, ça laisse un gout sacrément amer en bouche mais en même temps la série a encore continué et on se rend compte que même là-dessus bah .hack a un peu su prévoir la suite.

Dans ma tête (2022)

04 min. Date de première diffusion : 16 octobre 2022 (). 1 saison. Comédie

Websérie YouTube

Lucindrum a mis 4/10.

Annotation :

Euuuh he's so crazy I love him, vraiment l'enfer post Bref du bail, jamais vu une série qui essaye autant d'être quirky, +2 points parce que azy c'est pas long et gratos sur youtube.
En espérant que le "A suivre" soit juste une tentative de teasing qui n'ira nulle part.

La Mélancolie de Haruhi Suzumiya
7.1

La Mélancolie de Haruhi Suzumiya (2006)

Suzumiya Haruhi no Yuutsu

25 min. Date de première diffusion : 2 juillet 2008 (). 1 saison. Animation, Science-fiction, Romance

Anime (mangas) CTC (JA)

Lucindrum a mis 7/10.

Annotation :

Dans l'ensemble pas inintéressant mais je peux m'empêcher de ressentir comme un profond manque de sincérité qui me rend hermétique aux moments school life de la série qui ont un truc totalement factices, certes volontairement avec l'aspect fantastique mais les quelques moments d'ouverture terre à terre m'ont blasées en retour.
J'aime bien les décors et le jeu sur les visuels et la réal en fonction des épisodes avec des jeux sur les ombres, le ciel tout bleu et le coucher du soleil.
Comme la série commence avec le pire épisode au début ça ne fait que s'améliorer après c'est cool au moins.
Très chuuni dans son écriture et son traitement des clichés et lieux communs de SF avec alien, voyage dans le temps etc. Mais du coup quand la série décide d'aller à fond c'est un peu les meilleurs épisodes, surtout qu'à part l'infame perso de Mikuru qui sert un peu de caution nibard de la série, j'ai pas détesté le cast.
Marrant de reconnaitre les OST de JDG de l'époque.
J"ai bien aimé les flashbacks d'Haruhi et les moments un peu purement sincères sur le besoin de se démarquer et ce genre de désir typiquement adolescents, je pense que ça aurait grave pu me marquer à l'époque.
Beaucoup aimé les épisodes un peu posés qu'a la série où ça parle pas beaucoup, plus dans les sous-entendus et la réal, à la limite j'aurais aimé que les personnages parlent moins pour laisser l'intrigue et le tout respirer plus, l'impression un peu d'avoir des clés secouées devant moi par peur que je m'ennuie.
Beaucoup plus aimé la série sur sa fin vu que les persos ont un peu grandi en moi, j'ai appris un peu à en apprécier quelques un, surtout l'esper qui est cool.
C'est un animé qui baigne vraiment dans culture otaku un peu grassouillette des années fin 2000 pour des bonnes comme des très mauvaises raisons, je me serais ée des refs chouettos si ça aurait été pour ne pas subir les "gags" sur le harcèlement sexuel du perso de Mikuru par Haruhi Suzumiya.
Pas inintéressant mais je reste sacrément hermétique au délire malheureusement, ça risque de faire partie de ces "classiques" qui vont pas marcher sur moi je sens à moins que la S2 soit vraiment très très bien.

La Mélancolie De Haruhi Suzumiya 2
6.3

La Mélancolie De Haruhi Suzumiya 2 (2009)

Suzumiya Haruhi no Yuuutsu

25 min. Date de première diffusion : 3 avril 2009 (Japon). 1 saison. Science-fiction, Comédie, Animation

Anime (mangas) Chiba TV

Lucindrum a mis 7/10.

Annotation :

Un peu les mêmes problèmes que la saison 1 mais c'est quand même beaucoup plus joli avec des chouettes idées de réal un peu coolos notamment sur le jeu sur les rayons de lumière et comment ça illumine des parties du visage de certains persos, puis le bail avec les couchers de soleil, le ciel étoilé et tous ces trucs, pareil pour les idées de représentation du cagnard estival, même si c'est pas Haruhi qui l'a inventé c'était joli et un peu kiffant.
La série continue son mix semi batard entre school life et fantastique sans que les deux soient vraiment mélangés ce qui est un peu dommage parce que quand y a du fantastique je e un bon moment quand c'est juste du school life chiant avec des persos volontairement creux bah c'est le Sphynx dans Crossed. Y a vraiment que le dernier épisode vraiment cool qui essaye vraiment d'amener un bail sur le côté factice de ce monde et d'en faire des purs questionnements de SF un peu trippant chuuni intéressant, mais ça c'est surtout parce que c'est pour teaser un peu ce qui arrivera dans le film je sens.
Sinon bah l'éléphant au milieu de la pièce c'est vraiment les Endless eight que j'ai bien kfifé, y a une vibe vacances scholaires façon Boku no Natsuyasumi de concevoir et d'accepter leur côté éphémère, surtout que là c'est en plus relatable pour son publique sur la répétitivité de ces vacances et du retour en cours juste après. Puis c'est aussi, comme le reste de la série, très joli, en plus malgré le fait que ça se e à la piscine au début, y a pas trop de plans un peu chelou sur des lycéennes, y en a dans un seul épisode et c'est presque honorable que cette saison 2 se calme un peu.
Fin en tout cas j'ai bien kiffé l'expérience de suivre en one shot cette boucle temporelle un peu funky prenante qui exploite enfin à fond les idées de SF lancées un peu comme ça d'épisodes en épisodes. Presque un bail ludique à essayer de choper les anomalies de boucles en boucles, fin voila c'était bien.
Vraiment dommage que l'arc d'après reprenne cette formule à laquelle je suis totalement hermétique, mais je capte totalement pourquoi ça a pu matrixer les lycéens de l'époque surtout que bah, cette saison est un peu moins fixée et baigant dans son jus weebos chuuni 2000 qui la rend impossible à er à de nouveaux bébés weebs.

Zone of the Enders : Z.O.E 2167 - Idolo
6.1

Zone of the Enders : Z.O.E 2167 - Idolo (2001)

Z.O.E. 2167 Idolo

25 min. Date de première diffusion : 21 février 2001 (Japon). 1 saison. Animation, Action, Science-fiction

OAV

Lucindrum a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Pas forcément l'OAV de mécha of all time mais un qui se démerde totalement de manière assez impressionnante de par son statut de produit dérivé de jeu sur PS2 même si dans les deux cas c'est un peu du sous Gundam, même si sacrément efficace.
Visuellement ça pète, bon y a le cheatcode OAV de mécha de Sunrise au début des années 2000 donc ouais y a de sacrées fulgurances, surtout à la fin et les jolies couleurs chatoyantes de leur prod coolos.
Rigolo que les robots du début on dirait vraiment ils sortent totalement de Patlabor avec leur côté un peu chunky et leurs grandes oreilles.
Encore une fois comme le jeu c'est vraiment écrit comme du sous-Gundam avec les dynamiques Martien Terrien qui reprennent tout le bail de L'UC, en vrai surtout 08th MS Team précisément là, même la station à la fin on dirait juste une des colonies de 0079.
En tout cas j'ai beau avoir joué aux jeux y a des lustres c'est fou comment ses décors sont identifiables, la seconde où j'ai vu la ville ou le canyon je me suis souvenu des ages auxquels ça fait référence dans le 2.
Très joli mech porn d'ailleurs le age du lancement dans le canyon.
J'avais un peu peur d'un truc cheapos mais ça se défend mega bien, surtout dans le dernier tiers qui multiplie les idées de réal impressionnantes jusqu'au final surpuissant avec son inspiration full Super Robo bien hallucination Newtype dans le cockpit avec le message sur l'importance de se battre pour ceux que l'on aime.
Donc voilà dans l'ensemble c'est du très bon divertissement vraiment chouette, ptet un dmes OAV de mecha préféré.

Yokohama Kaidashi Kikou
7.6

Yokohama Kaidashi Kikou (1998)

30 min. Date de première diffusion : 21 mai 1998 (Japon). Seinen, Science-fiction, Animation

OAV

Lucindrum a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Vrai animé pépère sur l'importance de faire attention et prendre plaisir aux petits trucs de la vie sans être pour autant niais ou cozy pour être cozy, y a comme une sacrée mélancolie qui se dégage de ses décors vidés de toute présence humaine et ses villes totalement submergées, sans jamais que ça soit expliqué, comme si ça avait toujours été le cas.
Joli décors et Da en général, ça fait plaisir de voir du post apo aussi coloré.
Sympa aussi l'idée de faire une narration aussi découse, avoir des tranches de vie pas dans un ordre chronologique, comme si on suivait la mémoire défaillante d'un robot ou juste un album photo pas remis dans l'ordre.
La beauté peut se trouver partout et même émerveillé un petit robot.
Intéressant de voir toutes les thématiques habituelles traitées par des oeuvres de robot type recherche d'humanité dans la SF traitées avec autant de joie et d'emerveillement, presque de légèreté.
Le petit vieux me fait trop peur, qu'il recule #screamer.
Surement mieux expliqué dans le manga mais j'ai bien aimé cette narration un peu décousue.
Très contemplatif, très posé, notamment du au fait qu'on suit un roboto observatrice.
Je pense que y a moyen que le manga me trixe, j'y jetterais un oeil.

Thunderbolt Fantasy: Sword Seekers 4 (2024)

Thunderbolt Fantasy: Tōriken Yūki 4

25 min. Date de première diffusion : 5 octobre 2024 (). 1 saison. Historique, Fantastique, Animation

Anime (mangas) Tokyo MX

Lucindrum a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Globalement beaucoup moins bordélique que la saison 3, même si pas avare de concepts funkys type combat de mécha ou de démons à base de bais ésotériques encore plus assumés.
Par contre c'est vraiment full teasing, full setup pour le film, notamment la saison qui introduit un perso au concept de fou dans les deux derniers épisodes, très hâte de voir comment ils vont démêler tout ce bordel.
Toujours mon concours d'aura farm permanent préféré, d'un plan à l'autre ça s'arrête jamais.
Tu sens que le budget et le staff ont pété pour cet arc final, avec ses quinze milles persos et leurs sous-intrigues, les transfos et nouvelles formes de persos qui arrivent tous les épisodes.
J'ai beaucoup aimé la sous-intrigue des démons amoureux, très touchant et ça souligne encore plus la magnifique écriture de la série, un des rares trucs de ce mauvais vieux Urobuchi vraiment chouettes du début à la fin.
Beaucoup aimé la dernière partie de cette saison en mode retour aux sources plus posé, même dans le final, entre 3 persos là depuis quasiment le début, plus "intimiste" et retenu, avant la grande pétarade que sera le film j’espère.
Quel immense kiff les décors de cette saison, les bails en mode ruine de vaisseau ou les trucs avec des vitraux brisés, it's peak....
Contente de m'être enculé quelques Wuxias pour voir l'inspi pour les bails surnaturels type histoire de fantôme chinois notamment avec toute la sous-intrigue du monde des démons et des histoire politiques de cours bien précise, aussi délicieux.
Encore une fois quel kino en terme de msie en scène, ça fait er particulièrement bien les ages d'exposition.
Sacré toxic yaoi, quel pur délice comme à chaque fois, maintenant libérez le film s'il vous plait.

Casshern Sins
6.9

Casshern Sins (2008)

25 min. Date de première diffusion : 14 janvier 2013 (). 1 saison. Action, Animation, Science-fiction

Anime (mangas) MBS

Lucindrum a mis 9/10, l'a mis dans ses coups de cœur et la regarde actuellement.

Annotation :

Probablement une des plus belles odes à la mortalité qu'on aurait pu écrire, et comme par hasard Yasuko Kobayashi est de la partie.
Pas un épisode où je me suis enmerdé, contrairement à ce que j'ai pu un peu lire à droite à gauche, de par la beauté du récit mais aussi juste la beauté de l'animé avec ses gigantesques décors, mélanges de reliefs naturels étranges et d’anciennes mégastructures abandonnées par une humanité étrange, tout ça avec une palette de couleurs, qui arrive à transmettre la mélancolie de ce monde vide tout en ne manquant pas de teints magnifiques.
Ca et la réal particulièrement évocatrice en jouant sur les jeux de reflets, d'ombres sur les personnages des robots, vidés de tout ce qui ferait leur unicité, l'immortalité.
La première moitié bien épisodique me fait tellement penser au traitement de l’odyssée de Kino, où chaque épisode est l'occas de voir un de ces robots mortels occuper le temps qui lui reste, pour laisser une petite trace de son age, comme les humains qu'ils ont remplacés.
Presque comme Mushishi, l'animé se préoccupe aussi, très lentement, de manière magnifiquement contemplative de trouver de la beauté dans leurs conditions étranges de vie pour ceux qui ont totalement perdus la tête face à la ruine qui les ronge. D'une chanteuse à l'artiste sans jambe qui a pour but de repeindre entièrement à sa couleur une cité lourde d'histoires militaires.
Au final comme le dirait le protagoniste la beauté de cette mortalité vient du fait qu'on puisse enflammer sa vie, profiter du temps qui reste au lieu de courir après cette immortalité perdue.
Y a presque un côté méta de prendre une œuvre nostalgique à l'époque pour en faire une histoire sur le fait que le salut vient de regarder dans le futur, pas de se replier dans le é comme c'est le cas des principaux antagonistes.
J'aime aussi beaucoup la musique de la série même c'est un peu souvent les 3 mêmes tracks qui jouent.
Je ne sais pas si je me souviendrais toute ma vie de toute la série, mais comme Kino je sais qu'au moins quelques épisodes sont à jamais gravés dans ma mémoire.

Cat Soup
7.6

Cat Soup (2001)

Nekojiru-sou

35 min. Date de première diffusion : 21 février 2001 (Japon). 1 saison. Animation, Épouvante-horreur, Comédie

OAV

Lucindrum a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Je voulais vraiment mater un OAV ce soir et comme Mara a fait une vidéo de suis je me suis dit que ça serait trop cool de mater l'adaptation de Nekojiru avant de totalement me plonger dedans.
Sound design de pur zinzard, des bruits de cigales, l'ambiance aride estivale aux bruits tétanisant des xorblux des séquences plus cauchemardesques.
J'aime trop comment tout te transmet cet espèce de sentiment de solitude, d'isolement constant dans les grands angles, les décors qui s'allongent en permanence pour rendre minuscule les personnages à l'écran.
C'est vraiment une collection de tableau bougeant cauchemardesque avec des persos trop mignons au milieu qui font un peu des saloperies mais c'est toujours magnifiques, la beauté du truc va me hante quelques temps, quel plaisir.

Cat Soup
7.4

Cat Soup (1999)

Nekojiru-sou

32 min. Date de première diffusion : 9 juillet 1999 (Japon). 1 saison. Fantastique, Comédie, Animation

Anime (mangas) TV Asahi

Lucindrum a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Marrant de voir le mélange de persos humains et des animaux dans les mêmes endroits, encore plus surprenants de les voir parler quand le premier que j'ai eu c'est l'OAV complétement muet.
Le gamin cochon il parle trop comme Shin chan, mystique d'ailleurs le traitement des cochons et comme tout le monde est colossalement raciste avec eux et le fait que c'est les seuls qu'on voit en forme animale aussi, qui parle pas et qui s'enculent face caméra.
L'humour crade et violent du bail en plus des personnages totalement dénués d'humanité ou de qualités qui les rachètent. Mais du coup le fait que les personnages soient tous des immenses trou du cul, fin surtout les chats, le reste ça dépend bah c'est un peu marrant oe en mode délire bien regressif.
C'est presque un peu étonnamment prenant dans cette espèce mini catharsis de la violence de cette enfance prolo de campagne japonaise qui donne un gigantesque cafard.

Matasaburo the Wind Boy (1988)

Kaze no Matasaburou

30 min. Date de première diffusion : 20 août 1988 (Japon). Fantasy, Animation

OAV

Lucindrum a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Petit screamer le logo Konami au début.
Pure vibe la musique du début et le générique de fin, sacrément groovy.
Les persos ont pas d'outlines je trouve ça trop uncanny premier degré, ça donne un esprit d'animé découpé dans du carton au truc et les couleurs + formes un peu abstraites cubistes ça donne une vibe un peu précise de cartoon expérimental. En plus avec le screamer chevaux réalistes et comme je suis pas habituée au style et côté un peu (très) limitée des animations, j'ai eu l'impression de mater un bail Creepypasta Lost Media Feldup Backrooms trauma.
Beaucoup aimée la vibe contemplative et les décors qui jurent totalement par leu côté hyper réalistes et travaillés du reste.
Bien kiffé aussi le taff du sound design sur le vent la musique qui est faite à la flute, c'est bien en thème petit pouce en l'air.
Bien kiffé aussi le fait que l'OAV assume totalement son côté omega cheapos pour proposer un truc aussi unique que ça.
Juste dommage que l'OAV adapte pas le dernier jour que j'aime beaucoup.

Steven Universe
7.7

Steven Universe (2013)

10 min. Date de première diffusion : 5 mai 2014 (). 5 saisons. Aventure, Animation, Jeunesse

Dessin animé (cartoons) Cartoon Network

Annotation :

Saison 1 :
J'aime beaucoup le côté hyper épisodique assez créatif qui s'épuise jamais vraiment en 40 épisodes "hors canon" avec des idées assez funkys comme faire du body horror pour gosse, des ptits épisodes plus posés et mignons sur les liens entre des persos secondaires.
Impressionnée par la beauté visuelle du bail, surtout pour un truc semi journalier fin ça dépend quoi, les couleurs sont trop chouettes, notamment l'épisode un peu pastel en mode Dragon Ball avec Garnet, ça se voit que Sugars c'est une colossale weeb et je trouve ça coolos.
A voir comment ça évolue, j'aime bien l'écriture des conflits entre persos et leurs liens, humains et imparfaits, très touchants.
A voir comment ça évolue sur certains thèmes, notamment le rapport à la non violence.
Très bon, pouce en l'air.

Saison 2 :
Beaucoup plus linéaire et feuilletonnant dans sa narration même si la première moitié a quand même de très bons épisodes bouclés qui fonctionnent vraiment très bien.
Beaucoup de lore dump assez bien foutu et écrit, pas l'impression que je fais mes devoirs mais plutôt que l'univers se dévoile à moi comme il se dévoile à Steven, l’épisode sur Rubis et Saphir plus spécialement, aussi magnifique sans son yuri rocailleux que dans sa DA entre Ikuhara et Miche Ocelot, juste wow, gros pouce en l'air. Rigolote, Peridot, on dirait l'enfant débile de l'équipe des gemmes de cristal, j'aime bien son développement au fur et à mesure, assez attachée à elle à la fin, surtout, pas forcément fan au début quirky quirky mais j'ai fini par bien l'aimer ouais.

Saison 3 ;
Pas forcément masse de chose à dire cette fois ci, bonne saison, adorée la première moitié à peu près, je trouve le développement de Lapis et la manière dont la série se démerde pas trop mal pour parler d'emprise et de relations toxiques et l'impact sur les victimes. L'épisode Mr Greg fait partie de mes préférés de la série d'assez loin. Le reste est pas mal mais c'est vraiment BEAUCOUP de setup et de lore dump, maintenant on attend la suite ouais.
C'est pas le scandale du siècle mais j'avoue j'ai un peu de mal avec le style qui change d'une frame à l'autre, surtout quand c'est aussi flagrant.

Ryokunohara Meikyuu (1990)

40 min. Date de première diffusion : 25 mai 1990 (Japon). Animation, Shōjo, Drame

OAV

Lucindrum a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Le côté un peu limité de l'animation, même si bon, de un c'est obvious fauché mais en plus c'est pas le genre d’œuvre qui a besoin des sakugas de Ninja Scroll donc bon, en plus c'est très largement compensé par les magnifiques visuels, en terme de compo de plan ou de couleurs de l'OAV.
C'est assez marrant de voir l'histoire rythmée par des petits ages musicaux, en mode Yaoi city pop omega kino.
Tu sens le côté chaotique, d'en même temps devoir remplir 40 minutes et de pas trop rendre ça chiant, du coup t'as des persos qui apparaissent 5 minutes ou moins, c'est assez marrant, notamment tous les potes du couple principal.
En tout cas c'était vraiment un magnifique petit OAV, bien onirique comme il fait avec des élément de surnaturel assez incroyable, très douce la métaphore sur le fait de s'accepter soi même par rapport au fantôme qui nous hante, l'évidente métaphore du spectre incarnant l'homophobie.
Gros pouce en l'air merci les homosexuels, oe oe.

ENA
8.1

ENA (2020)

03 min. Date de première diffusion : 26 mai 2020 (). Animation

Websérie YouTube

Lucindrum a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

C'est bien le petit peak caché d'internet que ça pense être.
Espèce de bordel mi Lynchien mi shitpost post moderne Hylics type shit, tu sens que le créateur et réal est totalement matrixé par cette vibe onirique web années 90-2000 en mode jeu expérimentaux type LSD Dream emulator, en tout cas c'est vraiment criant dans Temptation Stairway avec ses incrustations de persos en mode poit n click des années 90 dessinés.
Tu vois au choix de réal et de construction des plans, jusqu'à la couleur très artificielle que c'est un buté de jeu vidéo, en imitant la mise en scène de jeu d'aventure ou de dungeon crawler, logique de faire la suite en jeu vidéo avec Dream BBQ.
Ptite vibe uncanny la voix d'ENA qui change d'un épisode à un autre, en même temps ça contribue à l'atmosphère onirique du tout.
Fascinée par son univers bordélique, les idées des persos parlant tous des langues différentes, ce qui en même temps donne une forme de repère et d'appui presque cohérent et tangible à cet univers qui n'a pas vraiment l'air d'avoir de règles ou alors si elles existent elles sont au delà de la compréhension humaine.
En tout cas beaucoup aimé comment la série arrive à créer un bail cryptique sans être imbitable et comment ça e de shitpost surréaliste à un truc existentialiste sensoriel digital surpuissant.

Lucindrum

Liste de

Liste vue 53 fois