Où il est question de tableaux...

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Dans une scène du film, on montre au roi le tableau réalisé par Hans Holbein le jeune (1497-1543) pour le compte du roi et représentant Anne de Clèves (interprétée dans le film par Elsa Lanchester

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Tutta Rolf pose

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En 1944, Fritz Lang tourne The Woman in the Window (la femme au portrait). Edgar G. Robinson, ant devant une galerie d'art tombe en arrêt devant un tableau. Coïncidence, la femme qui a servi de modèle (Joan Bennett) e là au même moment, les deux personnages font connaissance et ce sera le début des ennuis pour Robinson dans ce qui est sans doute le chef d'œuvre de la période américaine de Fritz Lang

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En 1945, ce même Fritz Lang tourne Scarlet Street (la Rue Rouge) qui est le remake de La Chienne de Jean Renoir. Edgar G. Robinson, fait la connaissance de Joan Bennett qui joue le rôle d'une aventurière. Il est peintre du dimanche, mais il lui fait croire qu'il est un peintre professionnel, Joan Bennett va manipuler Robinson, vendre ses tableaux et lui demandera de réaliser son portrait, mais ce sera elle qui le signera du nom de Catherine Marsh. Tout cela finira très mal, mais le film est excellent

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Le portrait de Dorian Gray (un film d'Albert Lewin, 1945, d'après l'œuvre d'Oscar Wilde) raconte l'histoire d'un jeune homme qui alors qu'on a réalisé son portrait fait le vœu que ce soit le portrait qui vieillisse à sa place. Effectivement le portrait vieillira mais il reflétera aussi toutes ces turpitudes.

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Dans le film "Scandale à Paris" de Douglas Sirk (1946) George Sanders qui incarne le rôle de Vidocq sert de modèle à un peintre qui veut restaurer dans une église une fresque évoquant Saint-Georges terrassant le dragon !.

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Il est question d'un tableau d'El Greco qui disparait de la circulation

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la tableau de la veuve d'Antonio

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pour le portrait du Capitaine Daniel Gregg (Rex Harrison)

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Joan Fontaine est méchante, mais son tableau est très réussi

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Ne pas confondre avec le chef d'oeuvre de Fritz Lang

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Dans "Mais qui a tué Harry" (1955), Alfred Hitchcock se moque des peintres "modernes"

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Contient une critique sévère du marché de l'art moderne (l'intervention de l'inénarrable Daniel Emilfork est fabuleuse)

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Un très jolie portrait de Mari Blanchard

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Fernand Reynaud béat devant le portrait de sa mère

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Un faux Toulouse-Lautrec ! Portrait de Simone Pistache, la meneuse de revue et propriétaire du cabaret "Le bal du Paradis" incarnée par Shirley McLaine

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- Dis donc t'aime ça toi ? (Claude Brasseur devant un tableau de Bernard Buffet)
- Moi, ça me remue, on voit qu'il a beaucoup souffert ! (Michel Simon)

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Le portrait nue de Barbara Steele incarnant la sorcière Asa

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Parce qu'il y a cette réplique :
"- Les tableaux c'est pas fait pour décorer, c'est fait pour spéculer"

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Un portrait d'Howard Vernon

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Le portrait nu d'Ursula Andress peint par Ben Stahl, (1910-1987) exposé dans un saloon

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La Joconde triste

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- Sur le plan de l'arnaque, les coups le plus tordus ne sont rien - vous entendez ? rien ! - à côté de la peinture abstraite. (Pierre Brasseur.)
une autre :
- Oublie le mot dessin, chéri, il est complètement anachronique, parle de graphisme, de modelé, ou de mise en condition de l’objet, je préfère… et puis… n’emploie jamais non plus le mot de coloris mon amour,… parle de chromatisme, de matité, de rythme. (Irina Demick)

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Voler la joconde et s'enfuir avec Marina Vlady, l'idée aurait pu être bonne...

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Quand Marielle taquine le pinceau

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L'occasion de se foutre un peu de l'art moderne

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Dans le bûcher des Vanités (Brian De Palma, 1990), Tom Hanks découvre un portrait de sa maîtresse (Melanie Griffith) signé Chirazzi, sur le modèle de La Venus dans le miroir de Velasquez

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Un félé qui peint ses crimes