Mes BD lues

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Un bon tome, avec pour sujet des conflits entre religion, une vadrouille dans le désert avec une Citroën chenillé, un chat qui meurt et qui retrouve la parole. Franchement pas mal, le dessin de Hoann Sfar est incertain et pourtant assez précis, des cases parfois simplement bicolores.

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Graphiquement, c'est moins impressionnant que "la nef des fous" ou bien même "gribouillis", "le voyage improbable" se rapproche plus au niveau de son dessin du "magasin sexuel". Une écriture véritablement acerbe, une répartie digne de Gotlib, c'est honnêtement impressionant. Nous sommes tenus en haleine pendant les deux sur ce voyage improbable, embarquant 5 personnages bien singuliers, dans un microcosme tendu et survivaliste. Le dessin déjà extrêmement impressionnant de Turf, se voit ajouter donc d'une qualité d'écriture encore supérieure, plaçant sans aucun doute cet auteur dans le palmarès de mon coeur.

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Probablement en dessous des autres œuvres de Turf, on sent néanmoins un sens du drame développé pour une histoire contemporaine. Proche du voyage "improbable" en termes de style de dessin, ce tome ne s'offre pas la qualité de celui ci au niveau des dialogues.

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alors un dessin exceptionnel de Ledroit, qui a, à ma mince surprise, également dessiné "les chroniques de la lune noire", pur chef-d’œuvre. Je suis tout de même légèrement saturé par l'amoncèlement de détails, et la pauvreté du texte.

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Quelques planches très intéressantes, notamment les inter-histoires, un sens de la couleur et une lisibilité assez forte chez Pénélope Bagieu. Dès fois, l'image se fait ronger par le texte, ce qui rend l'ouvrage lourd d'histoire. Très intéressant tout de même pour la culture féministe.

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Honnêtement je ne m'attendais pas à une telle histoire. C'est prenant, c'est cru, c'est les suites de la guerre. La fin est complètement ahurissante et décalée, mais justifions-la par la beauté de l'image. La lecture m'a donné envie de voir le film.

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Une pure merveille, 23 cases douces dans une seule page, une intégrale qui amène le projet "fausse garde" à un niveau peu souvent atteint. Le travail sur les postures, bien que peu mobiles comparées aux œuvres nippones, est irables. L'histoire m'a toutefois paru assez flous, sans vraiment comprendre qu'elle était le but des antagonistes, ni celui des alliés. Très hâte de lire "la mécanique célèste" de Merwan.

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Franchement, une surprise géniale, je m'attendais à quelque chose de grandiose est, c’est le cas. Horologiom est une œuvre qui mérite son adaptation au cinéma. L'univers développé par Fabrice Lebeault me parle entièrement. Notons que la colorisation est également exceptionnelle. Toutefois, les dialogues et le scénario pêchent un peu à mon sens, ce qui descend l'ouvrage en dessous des œuvres complètes comme la nef des fous. Apparement un tome 6 et 7 sons sortis.

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Honnêtement je ne m'attendais pas à quelque chose d'aussi fluide et bon. C'a ma donnée envie de lire Stefan Zweig. J'aime beaucoup le scénario même si la vraisemblance est faible. Des cadres absolument intéressants !

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C'est du grand Larcenet, très clairement ? Une esthétique plutôt noire que Blanche. j'ai évidemment envie de lire la suite. C"est sombre, c'est le récit et la force du microcosme. Certaines échappées m'on fait penser à Blast. Evidememnt dans l'attente de la suite

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Assez intéressant, le propos me plait. Incorporation dans la masse jusqu'à l'anéantissement total de la matière grise.

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vraiment impressionné ! J'en suis au deuxième ouvrage de l'intégrale, donc au tome 6 des aventures de Navïs et l'univers me semble infini.