Lu en 2025

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Un sous Foster Wallace des plus ennuyeux

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Mitigé sur les deux dernières parties du bouquin, il extrapole beaucoup et n'est pas spécialiste. Cependant, ce qui est défendu a le mérite d'être une approche intéressante, avec laquelle je tendrais à être d'accord

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Je n'ai pas accroché au style d'Aristophane (la traduction y est sans doute pour quelque chose). En revanche, il y a une grande universalité dans ses propos

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Idem

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Une bonne synthèse, quoique des fois frustrante

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Lu quand j'étais en seconde, relu cette année. Le livre est mieux que le film. Tout est bien plus confus et jouissif.

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One Piece en mieux.

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Proposant dans un premier temps une critique des concepts marxistes sans pour autant renier l'héritage de Marx et se plaçant dans la continuité du jeune Marx, Castoriadis développe son approche du social-historique, qui a le mérite d'être une approche originale, à un moment où la pensée marxiste semble en crise. Mais ensuite, il s'embourbe dans le freudo-marxisme. Et c'est à ce moment précis, que je suis sorti de l'ouvrage.

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Entre poésie en prose, érotisme et dissertation philosophique. Cet ouvrage est un véritable labyrinthe comme j'ai l'impression que seuls, les sud-américains peuvent en produire. Quête des origines et quête révolutionnaire, parlant aussi de Nietzsche que de la poésie sud-américaine. C'est riche, dense et sensuel. Ça mérite une deuxième lecture au cœur de l'été ma foi.

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Proto-2666, c'est un plaisir que de retrouver les personnages de chef d’œuvre sous un autre jour. Bolano s'essaye au roman et produit quelque chose d'assez unique, quoique maladroits par bien des aspects. C'est étrange de découvrir des personnages que l'on connait déjà sous un nouveau jour, proto-personnages de 2666. Ce n'est pas encore le style qui fait la force des Détectives sauvages ou de 2666, c'est un début, un début prometteur lorsque l'on sait ce qui va arriver ensuite.

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SocIéTé

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C'est un livre très amusant à lire, c'est un peu un catalogue d'exploits et de personnages improbables comme la guerre sait en produire. Au-delà de ça, ce n'est peut-être le bouquin le plus pertinent à lire sur la 2° Guerre Mondiale. C'est divertissant mais ça ne va pas au-delà.

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Sans avoir détesté, j'avoue que ça ne m'a pas ionné non plus. J'ai l'impression d'avoir simplement lu un enchaînement de trucs trashs mais qui en soient ne sont pas non plus très transcendants. Alors, on pourrait se dire que ça dénonce les problèmes de la société nippone. Mais en vrai, ça se concentre bien plus sur le gore (le sang est un excellent lubrifiant à en croire Hashi) que ça ne produit une réflexion réelle. Je ne sais pas si c'est la traduction que j'ai lu mais d'un point de vue stylistique et formel, ce n'était pas fou non plus. Je trouve que ça finit par beaucoup se répéter sur la forme tandis que la narration part vraiment dans tous les sens et ça finit par être un peu lassant.

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cf. critique

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Oui, non, peut-être... les relations humaines c'est compliqué et "oui" ou "non" ne sont pas des réponses tout à fait adéquates surtout s'il doit y avoir punition.

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C'est du sous-Bouteldja, qui cherche à se faire l’exégète de textes du rap français mais comme dirait Booba, cité dans le livre, "va t'faire niquer, toi et tes livres". Il faut être décolonial pour rentrer dans ce bouquin. Au delà, il y a quelques phrases ça et là qui interpelleront le lecteur, phrases et idées qui mériteraient d'être développé autrement que par une analyse politique de Booba. Analyse qui au demeurant me semble se casser la gueule à partir du moment où le mec vit en exil à Miami et tient des propos réellement de droite. Si seulement, il pouvait exister des ouvrages qu développent les concepts du livre... ah oui... Bouteldja !

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Théma la taille de l'introduction !

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Le piège c'est d'avoir cru que le livre était à destination de tous mais en fait, c'est à l'usage des militants. Elle charge un peu trop la barque sur le système, ça dédouane parfois trop les individus. Et ça se voit qu'elle n'est pas historienne (jpp de ce qu'elle raconte sur la communauté). La question de la justice transformatrice mérite d'être creusée tant le système carcéral est pourri.

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J'adore les romans picaresques mais celui-là est spécial. C'est une succession d'épisodes guerriers, d'amour platonique entre deux hommes, de descriptions du sertao et de réflexions sur la vie et la mort. Pas de chapitres, seulement un long monologue où Riobaldo raconte son histoire. Franchement, j'ai adoré.

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Je crois que je préfère le Pynchon qui fait du roman encyclopédique. C'est bien mais c'est un peu comme

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C'était nul. C'est juste une américaine mentale qui n'est pas capable d'écrire une phrase correcte sans y foutre des parenthèses.

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Sauter d'une page à une autre, c'est rigolo cinq minutes. Mais je ne ressens rien pour Oliveira, la Sibylle et Cie. Tout me parait froid, sans âme. C'est plus un exercice de style qu'autre chose. Et quand bien même, niveau sud-américain qui joue avec les mots et les textes, je préfère Borges. Ici, j'ai l'impression qu'il ne fait qu'à peine effleurer ses propres potentialités. Je me suis ennuyé.

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Entre théorie et poésie, je ne sais pas trop quoi en penser. Je me dis que ce qu'il écrit, c'est du bon sens mais que la forme, sans être rebutante, le pousse à faire beaucoup de raccourcis et à ne pas développer les concepts qu'il utilise de manière scientifique. Ce qui, je le reconnais, me pose problème parce que j'ai bien quand c'est sourcé et non pas lorsqu'on sort des exemples de son chapeau sans pouvoir démontrer la véracité de celui-ci. Alors, le coup du vieux chêne c'était un peu émouvant mais il faut du solide et de la scientificité pour développer un véritable programme de protection de l'environnement et ne pas se limiter à dire "c'est beau les forêts et on en fait partie voyez vous".