les meilleurs mini séries historiques

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Chef d'œuvre absolu (acteurs, mise en scène, respect du matériel d'origine, costumes, humour).

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La belle langue est mise à l'honneur dans ce biopic en deux épisodes consacré à Françoise d'Aubigné, future Madame de Maintenon. Une interprétation magistrale qui dépeint, avec finesse et malice, tout l’amour du verbe propre à l’époque ainsi que la cruauté de la cour.

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Probablement la seule très bonne adaptation de la tragédie vécue par Anne Frank et sa famille. Une mini-série en deux épisodes, injustement méconnue et quasiment introuvable en version française.

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Excellente série sur la vie des pionniers américains, où des personnages historiques se mêlent de façon chorale à d’autres figures de fiction hautes en couleur dans la petite ville minière de Deadwood.

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Une seconde saison en demi-teinte, qui enchaîne les événements bien trop rapidement. Dommage, car la première saison relevait d’une véritable maestria à tous points de vue.

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Une série ionnante qui raconte de façon un peu romancée mais prenante, la guerre des deux roses.

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Tantôt politique, tantôt drama, The Crown réalise l’exploit de changer de casting à trois reprises sans jamais décevoir.

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Série largement fantasmée sur la vie amoureuse tumultueuse d’un roi complètement taré. Bien que la volonté de "bogossiser" tout le casting soit un peu dérangeante, la série bénéficie de beaux costumes et d’acteurs — et surtout d’actrices — convaincants, avec une mention spéciale pour Nathalie Dormer et Tamzin Merchant.

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Une réalisation un peu académique, des acteurs inégaux, mais Christian Clavier incarne à merveille ce Napoléon à la fois idéaliste, tyrannique et dévoré par l’ambition. On pourra reprocher à cette mini-série une vision un peu trop empreinte de "roman national", qui interroge assez peu les zones d’ombre du dictateur, préférant mettre en lumière « l’homme providentiel ». Les scènes de bataille, quant à elles, restent correctes mais manquent de panache, faute de figurants.

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Série romancée se déroulant durant la période de l’Anarchie anglaise, adaptée du très bon roman de Ken Follett. Une réussite d’ensemble, portée par une bande-son soignée, un excellent casting, une reconstitution historique minutieuse et un scénario solide.

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Une série moins réussie que son aînée, mais à laquelle on s’attache malgré tout, portée par le destin d’Elizabeth York, tiraillée entre la fidélité à sa famille paternelle et son rattachement, par mariage, à la maison Tudor.

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Série sombre sur la conquête de l'Ouest et la loi du Talion qui régnait à l'époque.

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Une série glaçante sur un tyran bien plus complexe et bien moins manichéen qu’on ne pourrait le supposer. Étonnant qu’une production américaine ait tenté, pour une fois, de ne pas transformer cette histoire en un simple ramassis de propagande.

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Malgré la reconstitution historique irréprochable, le charisme indéniable des acteurs et la beauté de la langue mise à l'honneur, le côté très théâtral de la série — probablement en vogue à l’époque, mais aujourd’hui totalement anachronique et donc déstabilisant — m’empêche d’y adhérer pleinement.

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De bons acteurs et de beaux costumes, mais la série sombre dans la mièvrerie et le pathos dès la saison 4, nous plongeant au age dans un ennui profond.

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Une adaptation un peu terne et académique du roman de Jane Brontëe

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Ayant découvert cette version avant celle de 1972 (qui plus est au sortir de l'enfance), j'avais beaucoup apprécié cette adaptation à sa sortie. Bien sûr, depuis, l’enfant de 11 ans fasciné par les histoires de complots, d’empoisonnements et de guerres féodales a laissé place à un professeur d’histoire, qui ne peut que constater la laideur des costumes, l’anachronisme des décors (souvent dignes d’un épisode de Star Trek), la médiocrité des effets spéciaux — en particulier ces lumières orange criardes et immondes censées figurer le ciel —, et l’abysse de nullité atteint par certains acteurs (Guccio, Julie Depardieu, Blanche d’Artois, Charles IV, pour ne citer que les plus tragiques).
MAIS ! Le duo Torreton/Moreau fonctionne à merveille, et je trouve même que Jeanne Moreau fait briller de mille feux sa Mahaut d’Artois. J’apprécie donc toujours cette série, malgré une mise en scène globalement ratée, mais que je trouve néanmoins plus moderne et crédible que la version très "théâtre filmé" de 1972 — question de goût et d’époque, j’imagine.

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Adaptation fidèle quoi que plutôt inégale, des romans d'Agatha Christie.

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Série sympathique, sans plus, sur l’ascension de la famille Médicis. Je l’ai surtout regardée pour me rincer l’œil sur Richard Madden, je l’avoue.

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Un peu trop longuet et académique à mon goût. Un manque d’émotion, hélas récurrent dans la quasi-totalité des productions françaises.

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Série qui doit beaucoup au charisme de son héroïne, Cariss la Lainière, mais qui n’a pas l’envergure de la série mère — le roman, il faut le dire, est également nettement moins bon que le premier.

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La série a le mérite de nous faire découvrir une Véronique Genest qui sait jouer. Elle a aussi le malheur d’avoir révélé, pour la première fois, le déjà tête-à-claques Pierre Niney. Une petite série française sans prétention, mais convaincante.

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J’ai été tout bonnement incapable d’apprécier le moindre personnage — ni même de les détester avec ferveur. Cette série a fait pschitt avec moi.

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Série qui n’est pas mauvaise en soi, mais qui adapte une nouvelle fois l’histoire — absolument inintéressante — de cette gourdasse de Sissi, une femme dont le poids politique fut à peu près aussi important que celui de Nadine Morano…

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Malgré des acteurs globalement convaincants et de jolis costumes, la série peine à convaincre et manque cruellement de souffle épique..

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À vouloir mêler documentaire et fiction, Netflix ne réussit ni l’un ni l’autre. Les voix off des intervenants gâchent toute émotion et immersion, et les informations délivrées ne nous apprennent rien que nous ne sachions déjà.

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Historiquement à chier. Les acteurs évoquent davantage une bande de punks à chien errant sur la place du Capitole un dimanche brumeux, une 8-6 dans la main, qu’un véritable groupe de Vikings. Tous les poncifs éculés sur ces derniers y ent — il ne manque plus que la coupe en crâne pour compléter le tableau.