Journal du 9éme art

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21/05/2025

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19/05/2025

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14/05/2025

Pouah quel tome ! J'ai retrouvé les feels des meilleurs moments de l'Habitant de l'Infini avec des dialogues à la tension ultra forte et des bastons chorégraphiés de main de maitre par Samura. Quel talent vraiment. Je vais me répéter mais il y a si peu d'auteurs capables de faire ressentir les mouvements avec autant de lisibilité et de puissances. Avec ce tome j'ai vraiment eu la sensation d'enfin solidifier le tableau d'ensemble, les diverses factions, personnages et motivations.
Un tome très tourné vers l'action et je vais m'en souvenir longtemps.

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12/05/2025

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08/05/2025

Hiroaki Samura est probablement dans mon top 3 des auteurs de mangas.
Quel plaisir d'enfin pouvoir mettre les mains sur ce Die Wergelder.
Le trait de Samura n'aura jamais de cesse de m'émerveiller. C'est si classe, les scènes d'actions sont d'une clarté qui manque à énormément d'autres mangaka.

Le pitch à la Kill Bill mettant en scène 3 protagonistes badass et bien différentes laissait rêveur. A l'arrivée on est pas déçu, c'est parfois trash (le -18 sur la couv n'est pas usurpé en plus d'être assez rare), parfois drôle, toujours au dessus du lot. Seul bémol, ce premier tome est assez confus dans sa façon de mettre en place ses éléments et on s'y perd un peu. A voir si les choses prennent un peu mieux racine dans les tomes suivants.

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28/04/2025

Je comprends pleinement la démarche du manga qui reprend une pièce de théâtre du Grand Guignol de Tokyo et en ce sens le récit n'est pas dénué d'intérêt. Mais au delà de ça je n'ai pas eu le coup de cœur que j'espérais sur ce titre qui va trop vite pour que l'on puisse s'y investir émotionnellement. On s'approprie à peine les personnages que c'est la fin. La romance entre la lycéenne et la machine / Frankenstein est bien trop manichéenne pour que nous n'ayons pas la sensation d'avoir déjà vu ça ailleurs. La paranoïa qui s'installe au sein de ce groupe de sadique souffre également de ce rythme rapide. Un récit plus étalé, sur deux ou trois tomes qui auraient par exemple montrés ces étudiants dans leur vie quotidienne aurait permis de donner plus d'épaisseurs aux personnages en justifiant pleinement son nouveau manga. Content de l'avoir lu néanmoins.

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24/04/2025

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21/04/2025

The Substance 20 ans avant.
Ou quand les dictats de la mode et de la beauté entrainent une escalade dans la folie. La beauté extérieure fraichement acquise qui engendre la laideur intérieure. La métaphore de la date de péremption de cette beauté est très claire, par contre la narration a tendance à l'être beaucoup moins par moment. Des changements de lieux, de personnages, de contexte d'une case à l'autre sans que rien ne les fasse clairement comprendre ou ne les amènent proprement. Un style de dessin assez particulier, simple mais pas simpliste, lorgnant du coté de la caricature.
En tout cas on referme le livre décontenancé et c'est probablement sa plus grande force.

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14/04/2025

Transposition contemporaine du roman d'Osamu Dazai, le manga nous fait suivre la vie de Yozo Oba. Il est jeune, particulièrement beau et viens d'une famille très aisée. Gâté par le déterminisme social et par mère nature, Yozo a tout pour réussir. Et pourtant, l'histoire de sa vie ne sera qu'une lente descente aux enfers, la faute à un incompréhensible vide intérieur impossible à combler. Entre auto-sabotage et épreuves de la vie, tout l'amènera de strate en strate dans les tréfonds de l'enfer...

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03/04/2025

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31/03/2025

Madeleine de Proust par excellence, génération club do blabla vous connaissez l'histoire, JDG en a fait son fond de commerce. Petit plaisir d'un presque quadragénaire. Un premier tome franchement incroyable tant il est drôle et enthousiasmant. Mais surtout encore une occasion de constater à quel point le trait de Toriyama etait clair et lisible en toute circonstance (ce qui manque cruellement à beaucoup de mangaka shonen je trouve). Aucun personnage n'est dessiné en version "light" dans des plans où ils se retrouvent au second plan. Au contraire, il y a toujours une mimique, une gestuelle, un truc qui les font exister quoi qu'il arrive. Bref, culte pour beaucoup de bonnes raisons, n'en déplaise à toute une génération qui voudrait faire croire que l'aventure de Son Goku n'était "pas si ouf".

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27/03/2025

Comme toujours il y a les deux facettes de Manu Larcenet.
Il y a le Larcenet positif, avec son trait rond et ses récits de vies.
Puis il y a le Larcenet Dark qui te prend ton moral puis l'éclate contre son genoux, le tout avec un graphisme bien plus détaillé et sombre. La route appartient à cette seconde catégorie. Ce qui tombe bien car c'est la face que je préfère. A ranger aux coté de Blast donc. Un sacré ride où l'on sait des le départ que ça ne finira pas bien mais ou on ne peut s'empêcher d'espérer. Il se trouve que l'espoir c'est probablement une des grandes thématiques de ce récit qui semble en manquer cruellement.
Je n'avais ni lu le roman originel, ni vu l'adaptation cinématographique. L'uppercut n'en aura été que plus grand.

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24/03/2025

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13/03/2025

C'est le tome que j'ai préféré jusque la.

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10/03/2025

Une belle conclusion qui pose des questions fondamentale dans toute forme de trauma :

"Comment se reconstruire ? Comment vivre avec ses traumas ?".

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10/03/2025

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09/03/2025

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09/03/2025

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06/03/2025

Sans surprise Seichi est devenu une personne éteinte. Une âme errante au regard perdu dans le vide, vivant par dépit. Un tome qui se penchera sur ce père qui fut le spectateur inactif du mal qui dévorait sa famille. Un homme qui par son caractère trop docile est resté sans agir, laissant toujours plus la situation s'enliser. Un caractère profondément gentil, quelque peu pathétique mais qui touche énormément par sa sincérité. Une existence partagée entre lâcheté, regrets et repentance... Bref j'ai chialé.

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06/03/2025

Probablement l'aboutissement de toute cette "première partie" du récit. Conclusion d'une amertume rarement vue car si l'on se pensait habitué à la violence psychologique avec les tomes précédents il n'en est en réalité rien. Ici c'est l'ultime strate de la décente aux enfers pour Seichi. Je me disait déjà que le pauvre enfant porterait en lui des traumas qui demanderait des années à être résolus, la on ne peut qu'imaginer quel genre d'adultes il pourrait devenir. Ce qui tombe bien puisque c'est précisément ce que la deuxième partie du récit entreprendra de raconter.

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05/03/2025

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06/02/2025

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27/01/2025

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20/01/2025

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13/01/2025

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04/01/2025

Un tome qui m'a un peu moins accroché que les deux précédents. Plus orienté action et qui commence à devenir un poil redondant dans la construction des anti-héros au centre du récit. Toujours de qualité mais moins impactant.

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21/12/2024

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15/12/2024

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14/12/2024

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08/12/2024