Écrasé, transpercé, brûlé, piétiné à mort par un cheval décapité, lacéré… comme tous mes ancêtres avant moi.
Certains sont partis sur un dernier mot noble, d'autres sur un conseil pour les générations à venir, d'autres encore dans une dernière flatulence et quelques uns sur une insulte bien sentie (coprolalie oblige).
Mais je n'ai pas peur pour l'avenir. Mes nobles enfants sauront reprendre le flambeau. Reste à savoir lequel d'entre eux se dévouera pour affronter le chateau familial:
le nain chauve magicien qui a peur des poulets ?
la barbare géante lesbienne ?
le mineur de fond hyperactif sans retour veineux ?
ou bien le paladin hypochondriaque daltonien ?
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