Autopsie d'un effrayant gâchis
Resident Evil. Un nom. Le visage de l'horreur numérique. Une saga débutée en 1996 sur PlayStation qui aura par la suite donné naissance à six épisodes principaux à la qualité globalement époustouflante. Et autant de produits dérivés (films, spin-off) proportionnellement décevants. Mais grâce aux talents de Shinji Mikami et plus récemment Hiroyuki Kobayashi, le mythe perdurait. Après un quatrième épisode ayant osé une remise à plat de génie, il est aujourd'hui l'heure de succomber aux morsures horrifiques de Resident Evil 5. Mikami et Kobayashi partis, Jun Takeuchi prend la relève. Et pour ceux qui espéraient que l'élève fasse honneur à la légende des maîtres, la déception risque d'être cruelle. Autopsie d'un jeu plus mort, que vivant...
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