Dishonored, sorti en 2012 plonge le joueur dans un monde dystopique très sale, prenant place dans une sorte d'ère Victorienne, mêlant occultisme et mécanique du Steam-Punk afin de servir l'un des meilleurs jeux des années 2010. Le gameplay offre plusieurs possibilités d'approches bienvenues.
Vous avez le choix de jouer avec discrétion tel un petit félin opportuniste, ou avec agressivité non dissimulé comme un gros rottweiler non muselé dans un jardin d'enfants. De plus, il est également possible de choisir la nature des attaques portées contre les antagonistes, qu'elles soient létales ou assommantes.
Ces possibilités apportent de réelles conséquences sur le déroulement de l'histoire, de certains niveaux et forcément du dénouement final.
Dishonored cependant ne déroge pas à la règle et intègre une chasse aux collectibles qui peuvent avoir leur importance, mais la plupart du temps quand je joue, j'ai la flemme de trouver la solution, quitte a er à côté d'un atout parce que je préfère casser du garde ou du geignards.
Le jeu est très bon, bien rythmé, les personnages ont (presque tous) leur caractères et leur valeurs, et peuvent se révéler être de très bons alliés comme de terribles traîtres, qui ferait pâlir Judas sur la place publique.