J'avais rarement vu un jeu multi aussi bordélique. Tu res une partie, tu ne comprends rien à ce qui se e, t'es lâché dans un espèce de monde à la GTA online mais avec une conduite dégueulasse, des graphismes moyens, et tu vois direct que le jeu n'est pas équilibré et que tout le monde n'est pas sur un pied d'égalité.
C'est tellement mal amené que ça ne te donne même pas envie d'aller faire les 'objectifs' qui ne sont là que comme une suggestion au milieu d'un HUD inable (non, je n'ai pas envie de voir des trucs hideux du type un gros bloc avec marqué "ta notoriété est montée niveau 2" popper sur mon écran pendant que je joue, merci).
Créée
le 12 nov. 2023
Critique lue 8 fois
Attention cette critique est plus une comparaison entre APB et APB : Reloaded qu'une simple critique ! All Points Bulletin avait était annoncé par son développeur comme une "révolution dans le monde...
Par
le 24 mai 2011
2 j'aime
Un jeu complètement à la ramasse. Il a foiré quand il était payant, mais le mettre en free to play n'est pas une raison pour être fainéant. De nombreux bugs, une jouabilité ultra raide, des missions...
Par
le 6 avr. 2012
2 j'aime
2
NOTE AVANT LE FREE2PLAY Un concept excellent, des artworks magnifiques, un travail trop vite fini. Les développeurs, pourtant bien sympathiques de Realtime Worlds, ont tout misé sur un coté...
Par
le 26 sept. 2010
2 j'aime
2
Quelle déception !! Et ma note n'est pas due à ma déception, c'est la note que je trouve que ce jeu mérite, je ne le trouve pas, mais pas du tout, bon, ni même moyen. Les thèmes des niveaux (à part...
Par
le 29 nov. 2012
15 j'aime
10
C'était un projet extrêmement populaire à ses débuts, mais pour être tout à fait honnête avec vous, perso je n'ai jamais été un grand fan de l'idée d'essayer de recréer un jeu dans le moteur d'un...
Par
le 12 sept. 2020
9 j'aime
Par où commencer... Ben c'est simple, il y a des gens qui aimeront plus ou moins le système de loot, le fait que le jeu te pousse à jouer de façon kiki mou vu que la vie remonte rarement, etc... Mais...
Par
le 23 oct. 2018
8 j'aime
