Merci à Sean Penn pour ce film lent, noble et prenant, qui, faisant suite à "Indian Runner" et "Crossing Guard", constitue une nouvelle expérience émotionnelle, à travers une humble mais élégante vérité des personnages échappant à tous les stéréotypes habituels au genre. Merci à Sean Penn pour avoir su rendre, le temps d'un rôle de personnage détruit, sa grandeur à Nicholson, ici enfin dépouillé aussi bien de ses tics diaboliques que de son anti-jeu outrancier. Merci finalement pour cet accablement qui nous envahit lors de l'impressionnant anti-climax final, qui nous montre à quel point les formes scénaristiques dominantes nous ont contaminés malgré nous... [Critique écrite en 2003]
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Les meilleurs films de 2001
Créée
le 27 janv. 2015
Critique lue 1.5K fois
14 j'aime
Grand fan de Sean Penn, je me sens frustre. Voila un film qui laisse sur sa faim. Sean Penn aux commandes , plus une pléiade de bons acteurs (on se demande dailleurs ce qu'ils foutent la avec leurs 3...
Par
le 11 avr. 2013
17 j'aime
14
Merci à Sean Penn pour ce film lent, noble et prenant, qui, faisant suite à "Indian Runner" et "Crossing Guard", constitue une nouvelle expérience émotionnelle, à travers une humble mais élégante...
Par
le 27 janv. 2015
14 j'aime
Pour son troisième long-métrage derrière la caméra, Sean Penn signe un thriller assez atypique : atmosphère contemplative, tempo lent, dialogues minimalistes...Adaptant un célèbre roman de Friedrich...
Par
le 3 févr. 2023
11 j'aime
1
Ce commentaire n'a pas pour ambition de juger des qualités cinématographiques du film de Ladj Ly, qui sont loin d'être négligeables : même si l'on peut tiquer devant un certain goût pour le...
Par
le 29 nov. 2019
205 j'aime
152
Cette chronique est basée sur ma propre interprétation du film de Charlie Kaufman, il est recommandé de ne pas la lire avant d'avoir vu le film, pour laisser à votre imagination et votre logique la...
Par
le 15 sept. 2020
194 j'aime
25
Il y a longtemps que les questions morales liées à la pratique de l'Art Cinématographique, chères à Bazin ou à Rivette, ont été ées par pertes et profits par l'industrie du divertissement qui...
Par
le 15 janv. 2020
194 j'aime
118
