Note à moi-même N° 1 : ne pas pleurer en pensant au scénario de mon ébauche de roman, ultralinéaire à côté de celui-ci.
Avec Primer, le réalisateur nous sert une leçon sur les chamboulements temporels et leurs effets (paradoxes). A priori, ça fonctionne (mais j'en suis qu'à ma première fois hein). En plus, pour bien nous mettre la mort, il fait ça avec un budget risible, aucun effet spécial, des décors banals et juste deux protagonistes qui parlent (beaucoup).
Note à moi-même N° 2 : prendre une aspirine.
Il est clair qu'en ne le visionnant qu'une seule fois, je vais avoir du mal à décoder les différentes timelines de ce film de malade. Promis la prochaine fois, je prends un bout de papier et je schématise.
Note à moi-même N° 3 : revoir Primer. encore. et encore. et encore. et encore.