#Vrais mâles honteux

La photo est très travaillée, les acteurs sont beaux. Rassurez-vous, vous aurez le loisir d'irer leur plastique sous tous les angles et c'est d'ailleurs le seul intérêt de l'exercice. Chaque scène érotise les jeux de ces jeunes adultes, ça sent le désir honteux et la testostérone. Le film s'étire en longueur, rapidement la frustration remplace le plaisir des yeux. N'espérez surtout pas d'Amour, d'analyses profondes, ni de dialogues pointus, ici, on est dans le brut des désirs non aboutis. Comme il est de coutume dans tous les films gays, sauf rares exceptions, ça ne finit pas bien.

4
Écrit par

Créée

le 20 avr. 2025

Modifiée

le 20 avr. 2025

Critique lue 14 fois

jeunomade

Écrit par

Critique lue 14 fois

D'autres avis sur Les Agitateurs

Critique de Les Agitateurs par Jonhkebab_VK

Une bande de potes à l’amitié très tendancieuse, se cachant derrière une homophobie virile pour ne pas s’assumer, jusqu’au drame…

il y a 4 jours

#Vrais mâles honteux

La photo est très travaillée, les acteurs sont beaux. Rassurez-vous, vous aurez le loisir d'irer leur plastique sous tous les angles et c'est d'ailleurs le seul intérêt de l'exercice. Chaque scène...

Par

le 20 avr. 2025

Critique de Les Agitateurs par Icarion75

Amateur des film de Berger, celui-ci dépeint une masculinité tellement triste et toxique qu’il est difficile de rester serein devant. Intéressant mais loin d’être son meilleur.

Par

le 7 sept. 2024

Du même critique

Comme une odeur de pourriture

Ma délicieusement décalée Chantal Lauby, qu'es-tu allée faire dans cette galère bretonne ? Le premier atout du film est la présence de Chantal Lauby et le second consiste dans la photo. Les paysages...

Par

le 8 janv. 2025

4 j'aime

Election américaine d'un pape conc(l)ave

Si vous ez la mise en scène américaine hystérique, loin de l'esprit de Rome, et ce jeu d'acteur sans vraie surprise, dans le seul espoir d'une fin surprenante, vous serez déçu. Le plus agaçant...

Par

le 2 déc. 2024

4 j'aime

1

Simpliste

Je me souviens d'une époque où le festival de Cannes récompensait des gens qui savaient lire et écrire avec délicatesse et culture. Bong Joon-Ho nous impose ici une oeuvre lourde, sans beaucoup...

Par

le 13 mars 2025

3 j'aime