La piel que habito est une œuvre dérangeante et fascinante. Antonio Banderas incarne à la perfection un Dr. Ledgard complexe, tiraillé entre folie et douleur. Sa descente aux enfers, guidée par une obsession morbide de réunir sa famille, est magistralement orchestrée par Almodóvar. Le film brille également par sa photographie soignée, où le rouge domine, symbole de ion et de violence. Le final, terriblement intense, laisse le spectateur abasourdi par la vérité crue qui se dévoile dans les dernières minutes.
Créée
le 27 août 2024
Critique lue 5 fois
Ça y est, enfin : j’ai vu mon premier Almodovar ! (Hourras d’une foule en délire) Ce réalisateur m’intriguait, certes, Volver attend sur mon disque dur depuis un bon bout de temps, mais mon...
Par
le 17 sept. 2013
53 j'aime
17
Pedro Almodòvar poursuit son inexorable exploration des ténèbres de l'âme humaine, qu'il avait initiée dans La Mauvaise éducation. Sillonnant les sentiers glaciaux d'un thriller macabre, La Piel que...
Par
le 20 août 2011
47 j'aime
7
Une histoire est intéressante à partir du moment où elle respecte une forme de cohérence interne. Qu'importe le postulat de départ, finalement (voyage dans le temps, zombies violeurs de dinde...
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le 3 janv. 2012
34 j'aime
9
Le portrait plutôt réussi d'un réalisateur noyé par un surplus d'idées tout autant créatives que loufoques. L'ambiance est cool, les personnages attachants.
Par
le 9 oct. 2023
1 j'aime
La piel que habito est une œuvre dérangeante et fascinante. Antonio Banderas incarne à la perfection un Dr. Ledgard complexe, tiraillé entre folie et douleur. Sa descente aux enfers, guidée par une...
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le 27 août 2024
Si on enlève le scénario, et les multitudes d'incohérences sur l'univers ou l'histoire en elle-même, en vrai le film est une pépite audio-visuelle. Techniquement c'est très riche et plutôt bluffant.
Par
le 5 oct. 2023
