"Papa, Maman,
Je suis bien arrivé aux United States of Murica, tout va bien, la bouffe est dégueulasse, mais je tourne un film sur le Moyen-âge".
"Quelque part en Europe de L'ouest"
Déjà, ça commence très mal. D'autant plus que j'affectionne bien le réalisateur Hollandais. Mais là, j'ai pas é.
Grosso merdo : un Film caricatural aux allures ultra médiévales qui se déroule au 16ème siècle (cherchez l'erreur), une bouffonnerie malsaine de tous les instants( oulala quelle décadence, oser filmer du sexe et de la violence dans les années 80, quel challenge !), un raté total dans l'écriture, Rutger sauve les meubles mais tout juste. Comment peut-on oser dire que cela est bon film ? Comment oser dire qu'il dénonce quelque chose ? C'est un gloubi-boulga informe de sexe, de viol, de meutre, de viol, de boisson, encore un peu de viol, de chien qui lape du sang, de ligne de dialogues usées et j'en e.
Ce n'est pas une reconstitution, que l'on soit clair, c'est une vision américanisé d'une version déformée maintes fois par les siècles.
La bande originale est d'une platitude sans nom, une sorte de thème récurent et cheap que l'on retrouve dans tous les films sur la période médiévale. oubliable à souhait, donc.
Les rebondissements sont grotesques. Non et non !
Je préfère encore Evil dead 3 qui lui au moins à la gentillesse de me décrocher des sourires !