PCC par excellence (produit de consommation courante).
Ingrédients : des acteurs principaux ayant une bonne côte de sympathie, mais n’étant plus au sommet de l’affiche, mais suffisamment bankables pour pouvoir monter le projet, un réalisateur sans âme mais pas emmerdant, des seconds rôles jeunes et dont on se dit qu’ils vont être attirants pour un autre public, un sujet dont on est sûr qu’il va être porteur de gags potentiels.
Résultats : Lhermitte assure le minimum syndical, Laroque est parfaite dans ce qu’elle fait le mieux (la salope renfrognée), la réalisation tient le cahier des charges.
Ces films ont l’avantage d’être interchangeables (mettez Bourdon ou Dubosc à la place de Lhermitte par exemple), ce qui fait que en apparence on a l’impression de voir des films différents, mais au finale on en ressort avec le même sentiment.