Titré en Il Était Une Fois... La Révolutionest celui qui m'avait le moins plu lors de l'exploration de sa filmographie durant mon adolescence. Avec un regard plus adulte, la claque est immense face à cette improbable histoire d'amitié au sein d'une violente atmosphère idéologiquement libertaire.
Pour la petite histoire, Leone
Pour l'heure, Leonelui-même qui dirige le film. Ce que le cinéaste finit par concéder, contraint et forcé selon ses dires...
Entièrement réécrit au jour le jour durant le tournage, le scénario d'Il Était Une Fois... La RévolutionLouis XVI durant la Révolution française que des immondes massacres à Dachau, ou encore du terrible conflit nord-irlandais qui sévissait à l'époque du tournage. Le long-métrage reste une allégorie fascinante où l'armée mexicaine se voit par ailleurs dépeinte à l'image des fascistes allemands et italiens durant la Seconde Guerre mondiale.
Également doté d'un humour subtilement ironique dans ses dialogues, Il Était Une Fois... La Révolution , mais aussi le plus effroyablement pessimiste. En somme, son œuvre la plus personnelle sans qu'elle ne soit pour autant sa préférée. Quoi qu'il en soit, un très grand film à mes yeux.