Sofia Coppola a lancé un genre - le contemplatif minimaliste et esthétique à bande originale puissante. Genre qui peut amener le pire comme le meilleur.
Et nous voilà avec Drive, qui est à Lost in Translation ce que le dernier Djian est au Voyage au Bout de la Nuit : une recette comprise mais mal digérée, avec moins à dire et se prenant plus au sérieux.
"Shame" avait dans son idée un tantinet plus de mordant, en explorant (vaguement) un (faux) tabou.
La violence et la pègre, par contre, sont des thèmes éculés qui ne tolèrent pas vraiment une approche moyenne. Drive est un gros ratage, peut-être, pour certains, rattrapé par la belle gueule de son acteur principal, qui n'ouvre pas la bouche, parce que bon, on n'allait pas non plus se fatiguer à écrire des dialogues, on a Kavinsky et un filtre vintage. Comme prémisse de film, tout est dit...
Visuellement ok.
Créée
le 3 févr. 2017
Critique lue 298 fois
Non mais c'est une blague ? C'est quoi cette presse unanime ? ce prix de mise en scène ? On a vu le même film ? Alors certes, ce n'est pas MAL fait. Mais j'ai l'impression d'être a des kilomètres du...
Par
le 6 oct. 2011
253 j'aime
198
Une masse du public en extase, une presse dithyrambique, une moyenne SC indolente, un paquet d'éclaireurs divers et variés quasi unanimes en 8 et 9. Même le projectionniste avant la séance me sort un...
Par
le 12 oct. 2011
204 j'aime
86
Lors de mon premier bout de chemin avec Drive, je n'avais pas été totalement satisfait du voyage. Malgré de sérieux arguments, il n'avait pas su me conduire au septième ciel. Pourtant, au départ,...
Par
le 26 mars 2014
191 j'aime
35
Pas le meilleur film d'Hitchcock à mon sens, mais une réalisation propre, un décor singulier, proche du théâtral, et des acteurs au sommet de leur carrière. Ici on a é un bon moment à le...
Par
le 3 févr. 2017
1 j'aime
Sofia Coppola a lancé un genre - le contemplatif minimaliste et esthétique à bande originale puissante. Genre qui peut amener le pire comme le meilleur. Et nous voilà avec Drive, qui est à Lost in...
Par
le 3 févr. 2017
Un film qui, pour une fois chez Von Trier, est sans trop de prétention ni d'arnaque cinématographique, et se contente de rapprocher les codes théâtraux des capacités d'une réalisation ciné...
Par
le 3 févr. 2017
