"Every night and every morn
Some to misery are born,
Every morn and every night
Some are born to sweet delight.
Some are born to sweet delight,
Some are born to endless night..."
Fragments du poème de W. Blake évoqué par Nobody dans la fiction.
Film initiatique, DEAD MAN se trouve être l'approche cinématographique la plus formaliste de Jarmusch, la tentative de rendre au hommage à la fois Mizoguchi, Robert Mitchum dont c'est la dernière apparition ou encore Lee Marvin... ( pour Lee Marvin, je ne développe pas plus, trouver vous même... )
La musique de Young, son thème, revient en respiration tout au long du film et devient un personnage à part entière de la fiction...
Mention spéciale à Nobody et au "Stupid fucking white man!"...