Appel à la solitude, la redécouverte de soi avec des prédateurs, dans un monde pourtant sans plus aucune contraintes : libération totale de soi, ouverture totale de l'esprit, connexion avec tout ce que peut apporter l'univers.
Des autres qui ne se veulent pas nos amis mais pas forcément hostiles non plus : cohabitation bienveillante contre l'envahisseur déracinant.
Des carnivores qui décident de ne pas s'entredévorer en se rapprochant pour éviter l'extinction à cause du super-prédateur, celui qui engloutit pour....... ca l'extinction de ses concurrents à..... l'existence libre de propagation.
Et pourtant pas sans attache, pour assoir sa régence éternellement sans repousse d'une quelconque forme de vie il doit lui-même limiter celle de tous ses membres : domination en soi, par des personnes profondément peureuses de la liberté et des devoirs de force qu'elle implique.
Devant donc parasiter pour exister, plus encore créer un système ou chacun serait le parasite de l'autre, forcer tout le monde à se pomper le sang pour qu'aucun ne puisse en sortir sous peine de se dessécher directement, mais en plus de ne pas pouvoir modifier ce fonctionnement général car n'ayant plus aucune capacités de quoi que ce soit.
La spécialisation des individus, leur puissance d'attraction en un seul point de l'univers jusqu'à leur mort.
Et ils appellent ca la "vie moderne".
Dans ce cas-ci un homme moins insectifié que les autres est sorti de l'essaim pour rapidement gagner en épaisseur lorsque le monde s'est agrandi autour de lui : ant d'un volant perdu à un loup solitaire.
De ceux qui sont exténués et ne chassent plus tant, se nourrissant exclusivement de l'aura de la nature, en attendant que celle-ci les transfigure vers une nouvelle forme moins agressive des autres formes de vie.
Lupus Sapiens, patientant que son espèce s'élève avec lui vers autre chose de plus impérissable et prégnant dans les sentiments provenant de leur environnement.