Suite solide

N'ayant pas encore vu le premier "Borsalino" (du moins à l'époque), je ne pourrais faire la comparaison, mais j'ai trouvé ce film de gangsters d'assez bonne facture. Porté par la présence intense d'Alain Delon (plus sobre que jamais) et des scènes de règlements de comptes aussi efficaces que réalistes, on e un vrai bon moment, Jacques Deray connaissant manifestement son métier. Du bon polar à la française.

6
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les meilleurs films avec Alain Delon

Créée

le 30 nov. 2017

Critique lue 248 fois

2 j'aime

2 commentaires

Caine78

Écrit par

Critique lue 248 fois

2
2

D'autres avis sur Borsalino & Co.

Chapeau Delon

Comme disait Eric Naulleau à sa grande époque chez Ruquier: Ce film n'est pas mauvais... il est très mauvais. Il faut aussi imaginer sa moue canine pour en apprécier tout le sel. Mais revenons au...

le 31 juil. 2012

7 j'aime

Critique de Borsalino & Co. par Boubakar

Suite directe de Borsalino, nous voyons ici Roch Siffredi partir à la recherche des commanditaires de l'assassinat final du premier volet. Alors, ici, la relative légèreté laisse place à un univers...

Par

le 13 févr. 2011

6 j'aime

1

Critique de Borsalino & Co. par AMCHI

Malgré l’absence de Bébel cette suite de Borsalino m’a davantage plu ; l’ambiance est plus sombre, il y a plus d’action (de bonnes séquences de fusillades style western) et même quelque instant...

Par

le 6 déc. 2015

4 j'aime

Du même critique

Enquête sur un scandale cinématographique ?

Thierry de Peretti est un réalisateur doté d'une bonne réputation, notamment grâce à « Une vie violente », particulièrement apprécié à sa sortie. J'y allais donc plutôt confiant, d'autant que le...

Par

le 20 août 2022

32 j'aime

8

Attente meurtri(ère)

Cinq ans d'attente, avant que la crise sanitaire prolonge d'une nouvelle année et demie la sortie de ce 25ème opus, accentuant une attente déjà immense due, bien sûr, à la dernière de Daniel Craig...

Par

le 7 nov. 2021

29 j'aime

31

L'Origine du malaise

Je le sentais bien, pourtant. Même si je n'avais pas aimé « Momo », adapté du même Sébastien Thiéry, cela avait l'air à la fois provocateur et percutant, graveleux et incisif, original et décalé,...

Par

le 25 sept. 2021

25 j'aime