A peu de choses près, Avatar TWOW reprend la même trame ainsi que les mêmes protagonistes et antagonistes que le premier film, et les propulse dans un environnement aquatique (on connait l’attachement de Cameron, réalisateur et sous-marinier, pour l’eau). Un seul élément - répétitif - sert ici à faire avancer l’intrigue :
la progéniture de Jake Sully, qui se met en danger et a besoin d’être constamment secourue.
Donc non seulement on a l’impression de revoir une variante du premier film, mais aussi de mutilples variantes du film en cours. Il s’agirait de n’importe quel autre réalisateur, on attribuerait cet effet poupée-russe à de la paresse intellectuelle ou du « lazy writing ».
Cameron maintient tout même son oeuvre à flot grâce à des plans de toute beauté et la maestria technique qui lui est propre.
N.B. : Comment se fait-il qu’en 2022, soit 13 ans après le premier film, que l’image soit toujours aussi sombre lorsque l’on regarde un film en 3D au cinéma ?? Personne a pensé à booster l’ampoule du projo ? C’est techniquement pas possible ? Faut que Cameron s’en charge ou quoi ?