! Attention, cette critique ne contient aucun spoil mais un vocabulaire pas très soutenu que je me dois d'utiliser pour détruire cette m**** !
Il m'est déjà arrivé, par le é, de lire, ou de voir, des films, des mangas, des animés vraiment nuls. Des navets, des nanars, bon, je respecte tout de même chaque œuvre pour le travail etc. Et tout comme on ne peut battre son adversaire 11-0 au ping-pong, tout comme on ne peut pas mettre un 0/60 à un devoir (au Luxembourg), je pensais, en arrivant sur ce site, ne jamais mettre un 1. Mais à aucun moment je n'aurais cru que pire, le pire du pire il existait.
Des mangas merdiques, j'en ai lu. Mais des mangas aussi merdiques que celui-ci, c'est dur à trouver. Plus con que ça, plus débile, plus chiant, plus répétitif, plus casse-couille, ça existe pas. À part peut-être ça, c'est comparable.
Rien que qualifier cette chose d'œuvre revient à profaner tous ceux du genre. Dire faire le l'art en prenant de la merde et l'étaler sur une toile, c'est simple. C'est osé, mais les profits derrière sont énormes, si Dieu a créé l'homme à son image, alors il devait être vraiment con (désolé). J'ai beau y penser, encore et encore, je ne vois pas comment une telle idée à pu sortir d'un cerveau humain.
To Love-ru, c'est une belle grosse merde, bien épaisse, bien énorme, bien dégueulasse, rejetée par une sorte de monstre au cerveau cassé, explosé, et troué. Sans doute été détruit à coup de batte de baseball.
RITO (games haha pas pu m'en empêcher) KUN !!!
Oui c'est ça ta gueule un peu va faire chier des gens sur une autre planète et fout nous la paix.
Putain de merde, rien ne m'aura donné plus mal au crâne que les personnes de To Love-ru. De Lala à Sakisama (la meuf blindée de thunes qui n'arrête pas de se la péter et de perturber l'histoire plus qu'elle ne l'est déjà) en ant par Rito bien sur, aucun ne sera plus développé qu'il ne l'est au début. Une coquille vide restée vide, un trou béant dans un espace étriqué. On peut même tous les décrire avec un seul et unique mot : con. To Love-ru est emplit de personnages cons, sous-développés, sous-charismatiques, chiants, énervants, avec toujours le même caractère de merde, à nous répéter les mêmes "blagues". Taisez vous et on vous entendra mieux.
Tout ça pour vous dire que, comme vous l'aurez sans doute déjà deviné, y'a pas d'histoire. Enfin, si, au début il paraissait y avoir quelque chose, si je me souviens c'est : protéger Lala de ses potentiels futurs maris !
L'idée c'est déjà de la merde. On ne va pas loin avec ce genre de chose, on se restreint à une intrigue répétitive et donc chiante, à moins d'innover.
Mais est-ce qu'un gars dont il ne reste qu'une poussière de cerveau peut innover ? BIEN SÛR QUE NON ! L'auteur, au lieu de se concentrer sur l'intrigue, la détourne. Pendant peut-être les 5 premiers tomes, on tournera peu ou prou autour du sujet principal, à savoir protéger Lala. é cet infâme début... plus rien ! Rito aura alors affronté 3 personnes si je me souviens bien. Vous vous rendez compte que c'est possible de vider une coquille vide ? En fait, je ne suis même pas sûr que l'auteur ait encore un brin de cervelle...
Du coup, la suite, c'est qu'une infinité de mini-histoires superficielles aspirant le vide laissé derrière elles. Aucune importance, presque aucun développement, ça se répète tout le temps et ça devient encore plus chiant que ça ne l'était déjà.
To Love-ru, si j'ai bien compris, se veut drôle. Car c'est avant tout censé être une comédie. Mais vous savez quoi ? Eh bah, à aucun moment, je n'aurais ri. L'humour est la chose la moins présente dans ce manga, essayant de faire rire mais ne parvenant au final qu'à nous pourrir le cerveau plus qu'il ne l'est déjà.
Il n'a pas mal vieilli, il n'est pas démodé ou sous côté, nan, il est juste oméga cringe. Et répétitif. Chiant.
Et ce qui va avec l'humour, bien sûr, ahh, bien sûr, c'est le fameux fan-service ! Une ÉNORME dose de fan-service gratuite, à nous brûler les yeux tellement il est casse couille. On veut faire rire avec du fan-service, des personnages qui se retrouvent dans des positions bizarres, mais comme on retrouve exactement la même chose dans chaque chapitre, c'est chiant, ennuyant, lassant. Déjà qu'au début ça n'était même pas drôle... Je peux parier qu'on a vu au moins 100 fois la culotte de chaque personnage féminin, si ce n'est plus.
Désolé, je me suis un peu emporté. Ma critique perdra peut-être un peu en objectivité, mais quand je commence quelque chose, je le finis. J'ai donc du me taper les 18 tomes de cette merde, et je peux vous dire que je n'en suis pas sorti en un seul morceau. Ah, tient, il y a un manga To Love-ru Darkness ???
Une suite... ce qui signifie que le manga de base a rapporté assez d'argent et fut assez populaire pour que la Shūeisha accorde une deuxième série... Finalement, il n'y a pas que les auteurs qui sont cons... je plains vraiment tous les autres artistes qu'une oeuvre comme ça puisse exister.
En tout cas, ne comptez pas sur moi pour la suite.
Fun : 0/10