Je connaissais quelques bonnes bières belges, quelques labels musicaux belges déjantés - (K-RAA-K)³ mon amour - mais alors la dystopie de là-haut… Jamais entendu parler.
Après lecture de cette intégrale en 2018, difficile pour moi de ne pas penser à la série Black Mirror ou encore au film Snowpiercer, le Transperceneige de Joon-Ho Bong.
Des pistes de réflexion ionnantes sur le consentement des individus, sur la pertinence d’une dictature verte (coucou Usbek & Rica !), sur le devenir des révolutions (coucou le Comité Invisible !). Le plus vertigineux, c’est que Kiki m’apprend que la BD est parue originellement en six épisodes dans le magazine Spirou, entre 1984 et 1986 !
Il y a plus de trente ans donc !
Une acuité rare à ressentir et fictionner le monde qui allait advenir et que nous connaissons/connaîtrons.
Encore merci à la librairie Tribulles pour la découverte !
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Créée
le 4 nov. 2018
Critique lue 237 fois
On peut facilement lister ce qui manque à S.O.S. Bonheur pour être un chef d'oeuvre : un dessin moins vieillot et figé, des couleurs moins criardes (ou du noir et blanc à la limite), une narration...
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le 11 sept. 2013
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Un ami m'a dit récemment : "Lorsque j'ai lu S.O.S. Bonheur, j'ai découvert que la BD pouvait être politique."Ainsi, malgré le côté désuet des dessins, aller à la rencontre des protagonistes imaginés...
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le 23 avr. 2023
4 j'aime
SOS Bonheur est ce type de récit qui, à l'instar de "1984" ou "Le Meilleur des mondes", propose une vision du futur qui fait peur tant elle colle à la vérité d'aujourd'hui. Au départ, ce sont des...
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le 18 janv. 2014
3 j'aime
Keywords : la vie après deux nuits blanches consécutives - déambulation amniotique - basses & très basses fréquences - hymne à l'engourdissement – je suis retombé sur mes pieds en sautant du douzième...
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le 24 févr. 2012
9 j'aime
Il y a bien longtemps que la nuit n'est plus cette longue apnée solaire. Elle n'a jamais été ce ballet virevoltant de blanches et de noires, que les romantiques aimaient décrire avec des caractères...
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le 20 oct. 2013
4 j'aime
Un film réalisé en 2016 et qui réussit la prouesse d'être aussi manichéen que les mandats Bush père & fils effectués quelques décennies plus tôt... Comme quoi, on peut s'appeler Tarek Ehlail,...
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le 9 juil. 2018
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