Quelques jours avec des ennuyeurs

Des histoires ou une bande de copains se retrouvent en vacances ensemble, il en existe autant qu’un curé peut en bénir.
On s’attend forcément à des séquences de complicité, de souvenirs, de rires, de tensions, de confidences et de … révélations.
Dans « Quelques jours avec un menteur » on a droit à tout cela, sans rien apporter au genre.
Si un auteur veut revisiter ce thème courant, il faut qu’il apporte quelque chose de différent à son scénario ou à ses personnages puisqu’il s’agit principalement de rapports humains ici.
Là, aucune réelle surprise, rien de captivant.
Je me sens loin de ces potes trentenaires dont tout est prétexte à une succession de clichés, dont certains sont d'assez mauvais goût.
Vraiment, je ne suis jamais rentré dans cette histoire, et le dessin ne m’y a pas aidé.
J’ai tenu jusqu’au bout au cas où … Peine perdue.


N.B : Sur le thème de l’amitié, je préfère du même auteur « Les ignorants ».

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le 17 avr. 2015

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