Aucun avancement mais quelques découvertes au sujet de Metropoliman qui justifient, enfin ! les agissements de ce dernier. Au travers de ce personnage, c'est l'élitisme prôné par une certaine classe sociale qui est critiqué ; la société est du reste appelée à se positionner d'un côté ou de l'autre grâce à une transmission des événements sur les écrans, une forme d’arbitrage déjà à l'œuvre dans Death Note. La fracture sociétale qui peut, qui doit, en procéder aura potentiellement plus d'intérêt que les combats débiles entre des individus fictifs mal écrits, des « cafards » contre un « pire qu'un cafard » (ouah, quelle éloquence), combats dessinés avec tant de fioritures que j'ai du mal à distinguer ce qui se e (ou ne se e pas).