O.P.A. - Largo Winch, tome 3
7.1
O.P.A. - Largo Winch, tome 3

BD franco-belge de Philippe Francq (1992)

O.P.A. - Largo Winch, tome 3 par Alligator

juillet 2006:

Episode bien désolant, bourré de clichés (situations, personnages, dialogues convenus), un peu ennuyant dès qu'il s'agit des opérations boursières, peu exaltant finalement.
4
Écrit par

Créée

le 17 nov. 2013

Critique lue 90 fois

Alligator

Écrit par

Critique lue 90 fois

D'autres avis sur O.P.A. - Largo Winch, tome 3

Capitaliser, c’est gâcher.

Autant les deux premiers tomes avaient su me surprendre de par leur habilité à jouer des codes et des formes, autant c’est avec ce troisième tome que j’ai connu mon premier dégrisement avec cette...

le 27 mars 2021

4 j'aime

8

Premiers investissements

Troisième tome de Largo Winch, seconde aventure et première réelle histoire de Largo Winch. En effet, jusque là nous avions découvert Largo qui lui-même devait découvrir sa vie. Ici, bien qu'encore...

Par

le 22 avr. 2017

3 j'aime

3

Critique de O.P.A. - Largo Winch, tome 3 par Wor

Dans ce tome, Largo prend pour de bon place à la tête du groupe W et bien évidement c'est parti pour des affaires de gros sous, conflits d'intérêt et complots divers. C'est distrayant à lire, quoique...

Par

Wor

le 7 mai 2017

1 j'aime

Du même critique

Critique de Cuisine et Dépendances par Alligator

Pendant très longtemps, j'ai débordé d'enthousiasme pour ce film. J'ai toujours beaucoup d'estime pour lui. Mais je crois savoir ce qui m'a tellement plu jadis et qui, aujourd'hui, paraît un peu plus...

Par

le 22 juin 2015

56 j'aime

3

Critique de The Handmaid's Tale : La Servante écarlate par Alligator

Très excité par le sujet et intrigué par le succès aux Emmy Awards, j’avais hâte de découvrir cette série. Malheureusement, je suis très déçu par la mise en scène et par la scénarisation. Assez...

Par

le 22 nov. 2017

55 j'aime

16

Critique de Sharp Objects par Alligator

En règle générale, les œuvres se nourrissant ou bâtissant toute leur démonstration sur le pathos, l’enlisement, la plainte gémissante des protagonistes me les brisent menues. Il faut un sacré talent...

Par

le 4 sept. 2018

53 j'aime