Par où commencer ? Panaccione m’avait émue dans Un océan d’amour grâce à son dessin si (faussement) simple mais si beau, expressif, et sa très juste utilisation des couleurs. Là encore, aucune déception, iration confirmée. On se reconnait dans ces traits, imparfaits parfois. Là doit se trouver toute la beauté et le talent de ce dessinateur.
On ne peut pas dire que le voyage dans le temps soit un sujet inédit. Mais dès les premières cases, j’ai compris que, enfin, j’allais lire de l’original. Imaginez : on peut er ses vacances dans de grands complexes à l’époque qu’on souhaite ! Et cerise sur le gâteau, 1 heure de 2016 suffit à nous offrir 22 ou 28 heures de vacances dans le é (en fonction de la destination…). Qui n’en rêve pas ??
Plusieurs petites trouvailles du genre, une enquête, de l’humour, des personnages attachants font de ce récit de 237 pages un réel délice. Je ne peux m’empêcher d’appréhender la suite, peur d’être déçue… Croise les doigts.
À lire au coin du feu. À offrir évidemment.