J'aime bien Nicolas Debon car il rend intéressant des choses auxquelles il me viendraient même pas l'esprit de m'attarder en premier lieu. Ici c'est du Tour de de 1910 dont il s'agit.
On fait donc la découverte de cette épreuve d'assassins et des victimes consentantes qui y ont fait face.
Nicolas Debon est dans l'anecdote de la petite histoire qui fait la plus grande. Ça raconte le début de la professionnalisation d'un sport où la mécanique et la science des cocktails énergisants ont encore de beau jour devant eux.
Créée
le 18 janv. 2022
Critique lue 14 fois
Il faut avant tout saluer le dessin vintage et très épais qui colle parfaitement à l'ambiance de 1910, année choisie pour raconter un tour de . Tour de avec l'opposition de deux grands...
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le 15 oct. 2023
J’ai découvert Nicolas Debon avec « L’invention du vide » que j’avais beaucoup apprécié. « L’essai » et m’avait déçu ensuite avant que « Marathon » montre des qualités étonnantes pour narrer le récit...
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le 16 sept. 2023
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le 18 janv. 2022
Mélange navrant de The Stanley Parable et Portal. La narration est atroce, ça parle pour ne rien dire. Il n'y a pas d'humour, on ne casse aucun 4ème mur, le message que le jeu veut faire er est...
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le 12 janv. 2022
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Après Le Monde sans fin (2021) de Jancovici clairement pro-nucléaire, Davodeau, lui défend la thèse inverse. Tel un Rufin, il part en pèlerinage jusqu'à Bure, future site d'enfouissement de déchets...
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le 12 janv. 2022
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