Un second opus bien plus aisé à lire et à comprendre que le premier.
Déjà parce que Enki Bilal utilise des bulles de texte plus claires, bien séparées des dessins. Le dessin a bien évolué (6 ans séparent les deux BD).
L'histoire reprend la suite du premier tome avec les mêmes principaux protagonistes mais en introduisant une journaliste aux cheveux bleus : Jill. Quel personnage ! Après, ça reste du Bilal donc c'est toujours un peu perché, et on reste dans ces histoires de politique, de divinités et de drogue...