Empereur Joker
5.9
Empereur Joker

Comics de Ed McGuinness (2000)

Empereur Joker par Alex

Des graphismes qui flirtent par moments avec une esthétique très toon, une folie narrative et un humour absurde inhérents au récit mais déconcertants dans un premier temps, une multitude de héros joyeusement tournés en ridicule, une noirceur qui arrive enfin en même temps que l'apparition de Batman dans le dernier tiers de l'histoire, un Joker azimuté qui menace rien moins que l'univers tout entier ; voici ce qui compose cette suite de comics réunis par Urban Comics en un étourdissant roman graphique de plus de 250 pages.

7
Écrit par

Créée

le 6 avr. 2016

Critique lue 327 fois

1 j'aime

Alex

Écrit par

Critique lue 327 fois

1

D'autres avis sur Empereur Joker

Terrible déception...

Le Joker ? Pouvoirs démesurés ? Capable de façonner sa propre réalité ? Voilà qui donne drôlement envie ! Se retrouver avec un Joker toujours aussi timbré mais avec les pouvoirs extraordinaires de...

le 9 juil. 2014

2 j'aime

Critique de Empereur Joker par Kab

Voilà un album traître. Au titre et à la couverture on pourrait croire que cet histoire est sur le célèbre Mr J. Il n'en est rien. Il s'agit en réalité d'un évènement liés aux séries Superman à...

Par

Kab

le 7 avr. 2014

2 j'aime

Critique de Empereur Joker par Alex

Des graphismes qui flirtent par moments avec une esthétique très toon, une folie narrative et un humour absurde inhérents au récit mais déconcertants dans un premier temps, une multitude de héros...

Par

le 6 avr. 2016

1 j'aime

Du même critique

Parole de crabe !

Etant moi-même handicapé, ce film me parle forcément de plus près qu'à un spectateur lambda : des potes para, tétra, j'en ai eu ; des qui sont morts trop tôt, aussi ; les centres de rééducation, j'ai...

Par

le 8 mars 2017

65 j'aime

2

On dit décidément MONSIEUR Dupontel !

La Rochelle, 26 juin. Jour de mon anniversaire et de l'avant-première de Au revoir là-haut en présence d'Albert Dupontel. Lorsqu'il entre dans la salle à la fin de la projection, le public...

Par

le 27 juin 2017

54 j'aime

4

Si "le travelling est affaire de morale", ici le panoramique vertical est affaire de vice

Je n'accorde habituellement que très peu de crédit au vieux débat clivant qui oppose bêtement cinéma populaire et cinéma d'auteur (comme si les deux étaient deux genres définitivement distincts et...

Par

le 27 mars 2018

50 j'aime

19