Bon allez, on revient un peu sur "Walking Dead". Avec la rentrée et tout ce qui va avec, avec toutes les nouvelles découvertes et les critiques qui les suivent, j'ai énormément de mal à rédiger des avis sur toutes les oeuvres, bd, films et jeux vidéos que j'ai pu découvrir cet été. Alors pour m'avancer un peu plus dans mon boulot à mi-temps, c'est sur le quinzième de tome de TWD que l'on va à présent se concentrer.
Si une chose est sûre, c'est qu'en un tome, Robert Kirkman n'a pas changé sa manière d'écrire et de gérer son bébé. C'est toujours aussi efficace, c'est toujours aussi violent, mais surtout, c'est toujours aussi poignant. Ainsi, après un tome particulièrement sanglant, presque déchirant, l'on doit subir les conséquences et les drames qui suivent les morts et les blessés, encore qu'il y ait bien plus des premiers que des derniers.
Et comme le dit le titre, le tome se divisera véritablement en deux parties : une partie de deuil pour réfléchir sur les actions ées des personnages, et une autre d'espoir pour se concentrer sur l'avenir et ses promesses, sur un futur que tous espèrent plus radieux. Et là, une nouvelle fois, on découvre un tournant dans la série, notamment avec cet aspect réflexion dont on a parlé. Cherchez pas, dans WD, les rebondissements pullulent à foison.
Bon, après, il est vrai que c'est un tome bien plus psychologique : il ne se e pas grand chose de bien trépidant, il n'y a pas énormément d'action. Non, il faut ici se préoccuper de la santé mentale de nos héros, plutôt que se concentrer sur les morts au dehors. Une nouvelle fois, on se trouve devant un tome de transition. Nul doute que le "calme" ne restera pas indéfiniment.
Tous ont changé, notamment le duo principal, Carl et Rick, pour une raison que je vais taire. La révéler serait vous gâcher tout l'aspect dramatique de la chose, alors bon, autant la fermer. Conclusion dans tout cela? Les morts des tomes précédents nous permettent au moins l'écclosion d'un nouveau couple au sein de la communauté, léger symbôle du deuil que tous connaissent, mais surtout icône du deuil auxquels tous aspirent.